Enseignement homéopathique : Sanicula aqua – Edouard Broussalian

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Sanicula Aqua

Par le Dr. Edouard Broussalian

Introduction

Voici plusieurs années que ce remède m’agace.

Oui, car du fait d’une pathogénésie restreinte, on a du mal à le prescrire et on le confond avec d’autres plus connus que lui. Résultat : on reprend mois après mois bon nombre de cas où Calcarea, Tuberculinum ou Lycopodium ont lamentablement échoué et on trouve que Sanicula est indiqué et fonctionne remarquablement.

J’aimerais donc une fois de plus vous faire bénéficier de mes ratages pour vous faire connaître ce grand remède. D’autre part, puisque bien des signes qu’il présente sont aussi considérés comme autant de symptômes majeurs d’autres polychrestes, nous allons pouvoir nous faire plaisir en évoquant de nombreux diagnostics différentiels.

Nous avons eu l’occasion de parler de Carcinosin, et comme lui il a des tas de symptômes qui changent sans arrêt. Comme Calcarea carbonica, il transpire de la tête en dormant. Comme Sulphur il a besoin de sortir les pieds du lit. Comme Silicea, Lycopodium ou Tuberculinum, il a beaucoup de ” caractère “.
Comme Carcinosin, Calcarea ou Sulphur, il aime ajouter du sel dans ses plats. Plus encore : comme Natrum muriaticum, il ajoute du sel et peut rêver à des voleurs ou avoir peur d’eux.

Avant de commencer, il vous faut savoir que se pose une fois de plus dans notre pays le problème de la souche du médicament. Le Sanicula dont nous allons parler est le Sanicula aqua et non pas le Sanicula europaea. Le premier est une eau minérale dont la source est à Ottawa dans l’Illinois. Le second une plante, la Sanicle d’Europe, qui appartient à la famille des Ombellifères. Une fois de plus le ridicule dans l’histoire est que Sanicula aqua ne se trouve pas en France bien que possédant une pathogénésie, alors que le Sanicula europaea est disponible en pharmacie mais ne possède aucune pathogénésie. La situation est d’autant plus désagréable que la source n’existe maintenant plus car une autoroute passe maintenant dessus… En pratique, Schmidt ou les Archers vous le fourniront sans problème.

Généralités

Clarke écrit avec raison que Sanicula est un polychreste et un antipsorique au vaste champ d’action. L’eau de Sanicula contient de nombreux éléments minéraux qui vont vous donner une idée de la complexité de ses effets : chlorure de sodium, chlorure de calcium, chlorure de magnésium, bicarbonate de calcium, sulfate de calcium, sulfate de potassium, bicarbonate de sodium, bromate de sodium, bicarbonate de fer, iodure de sodium, silice, alumine, bicarbonate de lithium, phosphate de sodium.

Les dilutions d’eau ou les triturations du résidu d’évaporation ont été expérimentés par Gundlach (qui en a bu avec sa famille pendant plus d’un an), et Sherbino qui en a fait un vrai proving en dilutions homoeopathiques.

Pour Clarke le point de départ de la pathologie de Sanicula est l’appareil digestif que le remède perturbe en occasionnant une malabsorption qui peut aboutir à la cachexie. Duprat dit que Sanicula agit profondément sur le métabolisme qui est troublé dans le sens de la dénutrition et de la
déminéralisation.

Ceci étant dit, je vais vous exposer les situations courantes où vous risquez d’être confrontés au remède, plutôt que de vous faire un exposé théorique que vous pourrez lire dans n’importe quel ouvrage.

Le tableau mental

Je commence par les signes mentaux qui sont très évocateurs du remède une fois qu’on le connaît. La petite vingtaine de cas que j’ai vus sont tous des enfants. Pratiquement tous ont en commun

L’instabilité dans leurs activités.

Il est vrai que les enfants surtout petits fixent rarement leur attention sur une même chose bien longtemps mais chez Sanicula c’est carrément l’instabilité : il font ceci quelques instants, autre chose ensuite, etc. D’ailleurs, les parents n’en peuvent plus et c’est souvent la première chose qu’ils vous disent ou le motif de la consultation. Tout le comportement d’ailleurs peut devenir ” erratique “, un peu comme un bateau sans gouvernail. Cela vous explicite le sens de la rubrique Errer, partir à l’aventure, se promener au hasard qu’il faut savoir donc prendre dans un sens plus large. Les trois grands remèdes de ce type de comportement sont sans doute Calc-p., Sanic., et Tub.

Mon ami Vermeulen ajoute fort joliment que cette énorme faculté de changement (voir dans les Généralités les rubriques Changement continuel des symptômes, et Contradictoires et alternants) doit avoir quelque chose à voir avec la composition de l’eau elle même qui contient toutes sortes de minéraux.
C’est comme si les symptômes sautaient littéralement d’un minéral à l’autre !

Tous ces symptômes sont souvent associés avec l’irritabilité.

Sanic est dans la rubrique Irritabilité chez les enfants à côté de Cham., Lyc., Tub., Cina., Sil. et j’en passe.

  • La ressemblance avec Cham.

Est frappante puisque ces deux lascars transpirent aussi de la tête en dormant et veulent être dans les bras. En pratique Cham. est aussi têtu, obstiné, querelleur, mais se calme dans les bras. Tous les symptômes de Cham. sont < en plein air alors que c’est le contraire dans Sanic. qui ressemble ici à Puls. et Sulph. avec l'< dans une pièce trop chauffée. Sur le plan mental, l’enfant Cham peut être braqué sur une seule idée (rubrique Pensées persistantes), alors que l’enfant Sanic changera constamment d’idée. Sur le plan des désirs alimentaire : Cham n’aime pas la viande, alors que l’enfant Sanic en raffole. Tous les deux peuvent être constipés mais Cham a des selles petites et fréquentes, alors que Sanicula fait volontiers des énormes morceaux. Cham tousse souvent la nuit en dormant ou est réveillé par la toux et possède peu d’expectoration alors que Sanic en principe tousse au réveil et crache beaucoup.

  • La ressemblance avec Sil.

Est notable aussi surtout si l’enfant a appris à marcher tard, mange beaucoup sans grossir, mais va nous faire évoquer des points importants. D’abord, Sil est un enfant hyper-consciencieux, soucieux de bien faire, etc. Cela fait tout de suite un contraste avec Sanic. Ensuite la transpiration de la tête en dormant : Sil transpire souvent dès l’endormissement ou pendant le sommeil, mais de toute la tête, alors que Sanicula de la nuque ou de l’occiput. Frans Vermeulen explicite fort bien ce point qui n’est pas un détail. Sanicula transpire en fait à cause du contact (rubrique Transpiration, Localisation Parties sur lesquelles on est allongé). Si le patient dort sur le côté, la sueur sera sur le côté de la tête, pour avoir la transpiration de la nuque, il faut que le patient dorme sur le dos. Alors que Calc ou Sil transpirent de toute la tête indépendamment du contact ou de la pression. Sanic est recensé dans la rubrique mentale Touché, aversion à être. Cette aggravation par le contact va donc très loin puisque ce sont des gens qui ne supportent pas qu’un membre touche l’autre ou bien de dormir près d’une autre personne (j’en vois déjà sourire). Vermeulen me cite ainsi le cas d’un kiné dont le tableau ressemblait fort à Silica et qui commençait à transpirer de la paume des mains en massant les gens.

Pour séparer Sanic et Sil, notons que le premier a besoin de voyager (comme Tub, Carc et compagnie) alors que ce n’est pas le cas de Sil qui possède même la nostalgie. Sanicula aime la viande et le sel, alors que Sil c’est juste le contraire. L’un et l’autre sont des remèdes d’abcès, furoncles, etc. Souvent dans ce cas, les douleurs sont > par la chaleur dans Sil. De façon très caractéristique Sanic peut affecter le bord des paupières (ulcération, suppuration, etc.) alors que Sil attaque la surface conjonctivale. D’une façon générale Sil est mieux au chaud et par la chaleur, c’est le contraire pour Sanic qui est > en plein air, < dans une pièce chauffée, etc. Dans la même optique les extrémités de Sil sont glacées alors que chez Sanic cela brûle, il faut les découvrir, comme dans Sulph. Pour finir, je cite un point amusant : les deux remèdes rêvent à des voleurs. Mais Sil rêve de se battre contre eux, alors que Sanic, tout comme Nat-m, doit vérifier une fois réveillé qu’il n’y a personne dans la maison.

  • La ressemblance avec Tub.

Tuberculinum possède, je le rappelle, la transpiration de la tête endormant, il faut l’ajouter au répertoire, tout comme Carc. Ce sont des enfants énervés, agités, très irritables au réveil. Leurs symptômes, comme dans Sanicula, sont très changeants, contradictoires. Tout comme Sanic, ils aiment le sel, le saucisson, le jambon, la viande et peuvent manger beaucoup sans prendre de poids. Si l’enfant dort à quatre pattes, le tour est joué : cela ne peut être que Tub. L’enfant Sanicula apprend à parler ou marcher tardivement (Calc, Sil, Sulph) alors que Tub possède le retard de la dentition.

  • La ressemblance avec Lyc.

Bon, je rabâche, mais les deux remèdes transpirent de la tête en dormant. Lyc est consciencieux, autoritaire, grincheux au réveil, dort sur le ventre ou à quatre pattes. Là ou Sanic apprend péniblement à parler, Lyc est volontiers en avance. L’enfant Sanic n’aime pas qu’on le touche, alors qu’il ne faut pas approcher l’enfant de Lyc qui possède ce signe curieux : il désire la compagnie, il doit sentir une présence dans la maison ou la pièce à côté, mais il faut le laisser seul faire son occupation. Les deux remèdes ont un gros appétit sans grossir, mais là où Sanic désire de la viande et du sel, Lyc aime énormément le sucré et déteste la viande. Dans les membres, les douleurs de Lyc sont améliorées par la chaleur du lit, alors que Sanic brûle et doit se découvrir. Les gens de Sanicula maigrissent du bas, alors que Lycopodium maigrit du haut (le fameux signe de l’amaigrissement dans la région des clavicules).

La peur du noir, les terreurs nocturnes, la peur des mouvements vers le bas.

La rubrique Peur de l’obscurité contient bon nombre de remèdes, au vu des symptômes de la transpiration, je pense qu’on peut en étudier quatre §remèdes associés à Sanicula.

  • La ressemblance avec Calc.

J’ai attendu de vous parler des peurs pour évoquer la ressemblance entre Calc et Sanicula car il faut bien avoir à l’esprit qu’un enfant Calc qui n’est pas craintif n’est pas un enfant Calc.

La ressemblance est ici étroite entre ces remèdes : les sueurs, le goût pour la viande, le sel, le même appétit sans grossir, le même retard à l’apprentissage de la marche, les terreurs nocturnes, souvent aussi mêmes éruptions de la région des oreilles (excoriations, fissures). Evidemment, si l’enfant est très rond, soude ses fontanelles en retard et adore les oufs, on ne discutera pas Calc, mais il faut se rappeler que Calc convient aussi à des enfants maigres. Dans les cas de Calc il est rare de ne pas trouver de ganglions, il faut penser à les chercher, souvent ils sont saillants dans la région du cou.

Ces deux remèdes se ressemblent tellement qu’il est parfois impossible de les séparer avec les éléments que nous fournissent l’observation d’un enfant (c’est à dire souvent peu de choses) ou l’interrogatoire des parents.

Une planche de salut tout de même : si l’enfant est assez grand on pourra déterminer que Calc est > par la chaleur et n’aime pas le plein air, alors que c’est le contraire dans Sanicula.

En pratique, on risque de voir échouer Calc dans un cas qui semble typique si ce n’était que l’enfant n’est pas aussi rond que d’habitude, alors vraisemblablement, Sanicula fera merveille. Ces modalités se retrouvent sur le plan alimentaire : les deux aiment le lait, mais typiquement Sanicula le boit froid, alors que Calc l’aime chaud.

  • La ressemblance avec Calc-p.

Là je fais un pléonasme : comme Calc et Calc-p se ressemblent, il est forcé que Sanic ressemble aux deux. En fait la vraie question est celle du diagnostic différentiel entre Calc et Calc-p.

C’est un vaste problème que j’aborderai une autre fois en détail pour ne pas trop allonger l’exposé. Retenons juste que Calc-p peut se distinguer de Calc par le fait qu’il y moins le tempérament obstiné et le ventre gonflé. L’enfant de Calc-p est souvent en retard sur le plan intellectuel, pousse lentement, met les dents tard et a tendance à maigrir. Ce remède a une telle affinité pour l’os (comme sa composition l’indique) que je le considère comme quasi infaillible dans les douleurs de croissance (s’il n’existe pas de contre indication sur le plan des signes généraux). Donnez le en 200, M ou XM et vous serez surpris de constater que l’enfant ne se plaindra plus du tout de ses douleurs. L’enfant Calc-p est souvent irritable, et surtout mécontent, et désire toujours que ” ça change “. On retrouvera le désir de voyage qui le rapproche énormément de Tub.

L’enfant de Calc-p a souvent mal au ventre dès qu’il mange un tout petit peu, alors que dans Sanic on a une forte envie d’aller à la selle dès qu’on mange et qui oblige à se lever pour aller à la selle.

Un autre signe typique : le bébé Calc-p sursaute et étend les bras quand on le soulève du berceau. Cette aggravation par le mouvement vers le haut se trouve aussi dans Calc, mais l’oppose à Sanic qui possède l’aggravation par les mouvements de descente (comme Borax).

Une fois encore Sanic est > en plein air alors que c’est le contraire pour Calc-p.

  • La ressemblance avec Lyc.

Voir plus haut.

  • La ressemblance avec Sil.

Voir plus haut.

Les désirs alimentaires

Tableau caractéristique : l’enfant a un excellent appétit et ne ” profite ” pas.

Désir : de sel, de viande.

Moins souvent : le désir de lait (froid), de jambon et choses fumées, et de gras. Vous aurez compris que l’envie de manger le gras du jambon est une
indication du remède.

C’est un grand remède, aux côtés de Sil, des bébés qui vomissent le lait. Ce sont des vomissements en jet très spectaculaires comme dans Aeth.

Enfin, Sanicula possède le mal de mer.

Les odeurs, sueurs et écoulements

Je ne reviens pas sur la transpiration de la tête en dormant et la faculté de transpirer des parties sur lesquelles on appuie.

Les écoulements sont excoriants et ont une odeur prononcée de saumure ou de vieux fromage. Les pieds puent (comme Sil), les selles puent, etc.

Etre homoeopathe nous entraîne aussi à développer tous nos sens. Ces odeurs particulières permettent souvent de déterminer un remède en quelques secondes. Ainsi, vous verrez au moins une fois ou deux par hiver des otites assez particulières. Souvent il y a un écoulement spontané, d’aspect très liquide, voire aqueux. Parfois, il n’y a pas d’écoulement visible mais des petites vésicules inflammatoires apparaissent depuis le lobe de l’oreille et le long du cou selon une ligne verticale, comme si quelque chose avait coulé et irrité la peau sur son trajet. Eh bien dans ce cas, il y a fort à parier que l’oreille dégage une vielle odeur de poisson. Il ne reste plus qu’a prescrire Tellurium. Cette odeur en cet endroit est tellement caractéristique que j’ai soigné sur cette seule indication un chien avec une énorme verrue (ou tumeur) dans le méat et dont l’oreille sentait le poisson.

Dans le même registre, l’odeur des selles de Sanicula est telle que c’est souvent impossible de la faire partir, elle colle littéralement au patient. Cela
se voit chez certains bébés qui font dans ce cas le désespoir de leur mère. Pour ce qui est des selles, les livres décrivent la constipation comme typique. En fait l’enfant peut avoir des selles normales ; et même aussi la diarrhée. Dans la constipation, les selles sont souvent énormes (comme Calc), parfois peuvent se réduire en miettes en sortant de l’anus (comme Nat-m).

Enfin, les pieds puent volontiers. Ces mêmes pieds sont souvent brûlants de sorte que le patient veut les sortir du lit. Ici, le remède est très ressemblant à Sulph. : même appétit vorace sans grossir, etc. Mais vous voyez que sur le reste on fait facilement la différence.

La peau

Est souvent excoriée, à plus forte raison s’il existe un écoulement.

C’est un grand remède d’eczéma, pour peu que les autres symptômes soient présents. Très souvent, c’est une fissure derrière l’oreille, avec un écoulement irritant. Dans ce cas, bien que Sanicula ne figure pas dans la rubrique, il peut aussi exister l’odeur de poisson que le remède possède d’une façon générale. Cela rend possible la confusion avec Tellurium.

Cas cliniques

Cas 1

Florian est né le 26 janvier 91. Vu le 17 juin 96. Il a toujours plein de troubles la nuit. Se réveille tout excité :

  • frappe les murs
  • terreurs nocturnes

Hospitalisé à 2 reprises car il marchait sur la pointe des pieds. On retrouvera une contraction importante des muscles de la face postérieure de la jambe. Les bilans ne montrent rien.

Odeur pieds ++

Transpiration nuque en dormant.

Adore la viande, il s’en fait des ventrées.

Plein de peurs mais attiré par les films horribles. Sa mère se plaint de son intérêt morbide pour les zombies et autres petites bêtes.

Prescription : Sanic M.

Revu en Octobre 96. Se porte comme un charme, on ne l’a jamais connu comme ça, etc. Cliniquement, un signe que je peux difficilement traduire en mots, mais pourtant net : son regard a changé, il est apaisé, et n’a plus la même expression d’anxiété.

 

Cas 2

Alexis est né le 15 avril 93. Vu le 4 avril 96. Lors de la première consultation de sa mère, Alexis était là et j’avais prescrit au jugé Lyc M en juin 94 d’après quelques signes du comportement : agité, énervé, semble vouloir commander tout le monde, etc. Il y avait eu une réaction tellement violente, suivie d’ailleurs d’aucun résultat que sa mère a eu peur de me le remonter.

Comme Alexis ne cesse de tomber malade, rhinos, otites, angines, etc. sa mère s’enhardit finalement pour le ramener.

Très têtu.

Il faut toujours qu’il commande.

Très gourmand.

  • sucré
  • mais aussi charcuterie.

Transpiration seulement de la tête.

Sel ++

Prescription : Sanic 200.

Revu le 15 juin 96 : voici mes notes.

Réaction à une semaine

Puis très vite bien plus dégourdi

Ne transpire plus du tout

Va beaucoup mieux

Père affreusement désagréable avec sa mère

  • fait ostensiblement la gueule
  • pas un geste envers son fils

Reste difficulté à s’endormir

Prescription : Sanic M.

Revu le 17 août 96 :

Réaction à j +6: anus rouge, gastro-entérite

Un mois après va super.

Immédiate >> du sommeil.

Revu le 26 novembre 96 : va super, n’a pas été malade.

Conclusion

Une fois que vous aurez commencé à le prescrire, vous découvrirez bien vite que c’est en fait un grand remède notamment en pédiatrie. Un dernier conseil : ne pensez jamais à Calcarea ou à Silicea sans évoquer Sanicula.

Commentaires

  1. Super .. famille calcarea carb de mere en fille lais petite fille recu sanicula on verra le résultat suis très curieuse

    1. Bonjour,
      pour vous éclairer, il n’y a rien de surprenant 🙂 Calcarea carbonica est le complémentaire naturel de Sanicula. Alors à suivre !
      Athelas

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