CAS 25 : VITILGO - Part 1
Publié : 28 févr. 2018, 17:47
É 15 ans . Sa mère l'amène en désespoir de cause pour un vitiligo.
Celui-ci est apparu il y a un an, les premières taches de dépigmentation étant survenues environ trois semaines après la seconde injection du vaccin anti hépatite B, pour se développer très vite sur l'abdomen, et le dos.
La maman d'É étant une femme très énergique, en trois ans, elle aura essayé tous les traitements possibles et imaginables, ayant consulté tout le monde depuis le dermatologue, en passant par les professeurs, les mésothérapeutes, etc.
Enfant, notre patiente faisait de nombreuses otites, souvent suppurées. A force de traitements, ou peut être à cause du changement d'expression de la psore, elle n'en fait plus maintenant. A la place des otites, elle présente des sinusites à répétition depuis quelques années.
C'est une fille très timide, elle ose à peine me parler. Sa mère confirme qu'elle présente un grand manque de confiance en elle, qui la handicape bien évidemment en cours. Elle présente une forte anticipation : elle est très mal avant le moindre examen, ou la moindre épreuve. Il m'est impossible d'obtenir plus de détails sur les symptômes provoqués par cette anxiété. D'ailleurs l'anticipation peut s'élargir chez elle à une anxiété généralisée, pour des broutilles.
Sa peau présente des nævi, elle cicatrise mal, une plaie prend longtemps à se refermer et demeure inflammatoire très longtemps. Je note qu'elle n'a jamais présenté d'autre trouble de la pigmentation, notamment jamais de nævus de Suton.
Pour finir, je note que sur le plan général, É est très frileuse et qu'elle est très malade en voiture, ce mal des transports pouvant aller jusqu'à la faire vomir.
Son père, qui n'assiste pas à la consultation est quelqu'un qui aime les plats relevés, s'énerve pour des riens, est très tatillon, sort les pieds du lit la nuit.
R1
Celui-ci est apparu il y a un an, les premières taches de dépigmentation étant survenues environ trois semaines après la seconde injection du vaccin anti hépatite B, pour se développer très vite sur l'abdomen, et le dos.
La maman d'É étant une femme très énergique, en trois ans, elle aura essayé tous les traitements possibles et imaginables, ayant consulté tout le monde depuis le dermatologue, en passant par les professeurs, les mésothérapeutes, etc.
Enfant, notre patiente faisait de nombreuses otites, souvent suppurées. A force de traitements, ou peut être à cause du changement d'expression de la psore, elle n'en fait plus maintenant. A la place des otites, elle présente des sinusites à répétition depuis quelques années.
C'est une fille très timide, elle ose à peine me parler. Sa mère confirme qu'elle présente un grand manque de confiance en elle, qui la handicape bien évidemment en cours. Elle présente une forte anticipation : elle est très mal avant le moindre examen, ou la moindre épreuve. Il m'est impossible d'obtenir plus de détails sur les symptômes provoqués par cette anxiété. D'ailleurs l'anticipation peut s'élargir chez elle à une anxiété généralisée, pour des broutilles.
Sa peau présente des nævi, elle cicatrise mal, une plaie prend longtemps à se refermer et demeure inflammatoire très longtemps. Je note qu'elle n'a jamais présenté d'autre trouble de la pigmentation, notamment jamais de nævus de Suton.
Pour finir, je note que sur le plan général, É est très frileuse et qu'elle est très malade en voiture, ce mal des transports pouvant aller jusqu'à la faire vomir.
Son père, qui n'assiste pas à la consultation est quelqu'un qui aime les plats relevés, s'énerve pour des riens, est très tatillon, sort les pieds du lit la nuit.
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