- 05 juin 2019, 09:25
#59504
Bonjour,
Mon cher petit chat Galoup est entre la vie et la mort.
Il a manifesté un malaise visible depuis samedi soir et a décliné sérieusement lundi.
Le diagnostic vétérinaire est douloureux : calculs rénaux occlusifs avec un taux d'urée très très important (un autre taux également anormalement élevé a été donné mais je l'ai oublié), il est en semi-coma.
Il est soulagé depuis lundi soir par une sonde et est sous perfusion.
Ce soir - après 48 heures (si j'ai bien compris), sa sonde sera retirée, des examens pour savoir si ses reins fonctionnent seront effectués. Selon les résultats, une autre session de 48 heures sera lancée.
La vétérinaire a été assez sévère sur les chances de survie au vu des taux vraiment importants constatés.
Ce chat est d'une gentillesse extrême (je l'appelle "ma petite crème"), extrêmement sociable avec ses congénères et les humains, sans se renier ni manifester aucune dépendance particulière. Il a pris l'habitude progressive de venir dans la maison, par son désir, sa liberté et notre choix.
(Je dois souligner que nous accueillons beaucoup de chats sur le site campagnard de notre logement, beaucoup vont et viennent, et sont sauvages par leur histoire avec nous, tout en étant très présents et attachés aux lieux : la cour est très arpenté, ce printemps).
Galoup vient d'une portée vite humanisée - par nous, et consciencieusement alors (sa mère étant elle-même très sociable et sans aucune crainte des humains tout en étant "chatte de ferme" - des voisins, venue mettre bas chez nous décidés à garder la portée - nous n'étions alors pas envahis, croquettes à disposition aidant) et se montre donc sociable à tous points de vue, même s'il peut sortir les griffes, ou courser les autres chats (ou une chatte de caractère dominant) si ses limites sont débordées.
Il a environ 6 ans.
Il n'a jamais eu de signe d'agressivité avec nous, même avec mon fils qui a pu l'embêter avec des jeux ou des manipulations déplacées. Il accepte en particulier un geste de tête contre tête frontales que je n'arrive pas à lui faire (il s'en retire comme tout chat que je connais). C'est comme un code de profonde amitié entre eux qui peut durer plusieurs minutes et se répéter.
Galoup est vraiment le copain de mon fils, il accepte tout de lui depuis leurs enfances respectives, et "l'aime comme un frère" (petit frère ?).
Je le trouve particulièrement équilibré dans son caractère, sans aucun défaut en vérité, son caractère étant celui du chat... adorable, extra, en fait.
Les derniers symptômes de maladie observés ont été une immobilité, une tendance de plus en plus grande à de détendre et se relâcher, d'abord en restant en position droite mais les pattes de plus en plus dépliées vers l'extérieur le temps passant (lundi en journée, puis en se couchant sur le côté.
La faiblesse le gagnant aussi, et le manque de ressort pour se prostrer.
Il a manifesté un comportement inhabituel marqué samedi soir donc, sans paraître souffrir.
Je ne l'ai pas vu avant : il n'est pas venu pour dormir dans la maison vendredi soir et était invisible samedi dans la journée (ce qui a suscité mon inquiétude devant les nouvelles habitudes de "domestication" en cours, même si le rythme de mise au sec et au chaud est encore très variable et dépend du climat).
C'est seulement en l'auscultant maladroitement, le voyant se déplacer avec difficulté (vitesse ralentie, nonchalance), que des douleurs côté pattes arrières ont été exprimées physiquement et je n'ai pas insisté. Un peu de boitement arrière ?
J'ai conclu à un mal de patte arrière droite alors.
Je ne me suis hélas pas inquiétée outre mesure, confiante dans la force vitale des chats, et connaissant leur résistance aux blessures de la vie courante en liberté.
Autre impression : qu'il n'était pas chaud.
Son poil est devenu aussi un peu laineux et moins beau. Un peu chiffonné.
Je l'ai trouvé dimanche soir dans le jardin, en positon classique (couché pattes sous l'abdomen), assez indifférent aux alentours (sur un paillage sec) et je l'ai rapporté à la maison, mou, pour le voir fatigué, cherchant une autre place au bout de quelque temps, ayant du mal à monter sur le bord de la fenêtre où se trouve l'eau, pouvant boire avec de l'encouragement et de l'aide (main sous le poitrail).
Il ne mangeait manifestement plus depuis assez longtemps.
En cours d'amaigrissement.
Ne cherchait pas à se cacher ou s'isoler.
Que dire d'autre qui pourrait être utile. Il est roux ? D'une couleur moyenne, tigrée, douce. C'est un européen. Le museau un peu pointu, il n'a pas de signes particulier.
Ses troisièmes paupières ne se sont pas étirées. Ses pupilles ont progressivement gagné en taille lundi.
Il a été content de nous voir hier soir à la clinique. Il a ronronné davantage que le jour précédent aux câlins sous le menton et le tour de tête et a voulu se lever sans succès ni réessai. Il a bu mais n'a pas pu mangé. Il se semblait pas souffrir.
Selon les professionnels, il n'allait pas mieux mardi matin mais en soirée oui.
C'est que ce que nous avons constaté.
Je crois en un rétablissement des fonctions vitales au rythme nécessaire désormais que son urine s'évacue, mais le propos de la vétérinaire a assombrit ma position. Mon fils est très confiant.
Galoup est jeune et peut s'en sortir.
Si l'un ou l'une de Planète-homéopathie peut nous aider en quelque façon, avec un remède de soutien voire de guérison... ou d'accompagnement.
Je vous remercie.
Je peux donner d'autres détails bien entendu.
Homéopathiquement vôtre, Florence.
Mon cher petit chat Galoup est entre la vie et la mort.
Il a manifesté un malaise visible depuis samedi soir et a décliné sérieusement lundi.
Le diagnostic vétérinaire est douloureux : calculs rénaux occlusifs avec un taux d'urée très très important (un autre taux également anormalement élevé a été donné mais je l'ai oublié), il est en semi-coma.
Il est soulagé depuis lundi soir par une sonde et est sous perfusion.
Ce soir - après 48 heures (si j'ai bien compris), sa sonde sera retirée, des examens pour savoir si ses reins fonctionnent seront effectués. Selon les résultats, une autre session de 48 heures sera lancée.
La vétérinaire a été assez sévère sur les chances de survie au vu des taux vraiment importants constatés.
Ce chat est d'une gentillesse extrême (je l'appelle "ma petite crème"), extrêmement sociable avec ses congénères et les humains, sans se renier ni manifester aucune dépendance particulière. Il a pris l'habitude progressive de venir dans la maison, par son désir, sa liberté et notre choix.
(Je dois souligner que nous accueillons beaucoup de chats sur le site campagnard de notre logement, beaucoup vont et viennent, et sont sauvages par leur histoire avec nous, tout en étant très présents et attachés aux lieux : la cour est très arpenté, ce printemps).
Galoup vient d'une portée vite humanisée - par nous, et consciencieusement alors (sa mère étant elle-même très sociable et sans aucune crainte des humains tout en étant "chatte de ferme" - des voisins, venue mettre bas chez nous décidés à garder la portée - nous n'étions alors pas envahis, croquettes à disposition aidant) et se montre donc sociable à tous points de vue, même s'il peut sortir les griffes, ou courser les autres chats (ou une chatte de caractère dominant) si ses limites sont débordées.
Il a environ 6 ans.
Il n'a jamais eu de signe d'agressivité avec nous, même avec mon fils qui a pu l'embêter avec des jeux ou des manipulations déplacées. Il accepte en particulier un geste de tête contre tête frontales que je n'arrive pas à lui faire (il s'en retire comme tout chat que je connais). C'est comme un code de profonde amitié entre eux qui peut durer plusieurs minutes et se répéter.
Galoup est vraiment le copain de mon fils, il accepte tout de lui depuis leurs enfances respectives, et "l'aime comme un frère" (petit frère ?).
Je le trouve particulièrement équilibré dans son caractère, sans aucun défaut en vérité, son caractère étant celui du chat... adorable, extra, en fait.
Les derniers symptômes de maladie observés ont été une immobilité, une tendance de plus en plus grande à de détendre et se relâcher, d'abord en restant en position droite mais les pattes de plus en plus dépliées vers l'extérieur le temps passant (lundi en journée, puis en se couchant sur le côté.
La faiblesse le gagnant aussi, et le manque de ressort pour se prostrer.
Il a manifesté un comportement inhabituel marqué samedi soir donc, sans paraître souffrir.
Je ne l'ai pas vu avant : il n'est pas venu pour dormir dans la maison vendredi soir et était invisible samedi dans la journée (ce qui a suscité mon inquiétude devant les nouvelles habitudes de "domestication" en cours, même si le rythme de mise au sec et au chaud est encore très variable et dépend du climat).
C'est seulement en l'auscultant maladroitement, le voyant se déplacer avec difficulté (vitesse ralentie, nonchalance), que des douleurs côté pattes arrières ont été exprimées physiquement et je n'ai pas insisté. Un peu de boitement arrière ?
J'ai conclu à un mal de patte arrière droite alors.
Je ne me suis hélas pas inquiétée outre mesure, confiante dans la force vitale des chats, et connaissant leur résistance aux blessures de la vie courante en liberté.
Autre impression : qu'il n'était pas chaud.
Son poil est devenu aussi un peu laineux et moins beau. Un peu chiffonné.
Je l'ai trouvé dimanche soir dans le jardin, en positon classique (couché pattes sous l'abdomen), assez indifférent aux alentours (sur un paillage sec) et je l'ai rapporté à la maison, mou, pour le voir fatigué, cherchant une autre place au bout de quelque temps, ayant du mal à monter sur le bord de la fenêtre où se trouve l'eau, pouvant boire avec de l'encouragement et de l'aide (main sous le poitrail).
Il ne mangeait manifestement plus depuis assez longtemps.
En cours d'amaigrissement.
Ne cherchait pas à se cacher ou s'isoler.
Que dire d'autre qui pourrait être utile. Il est roux ? D'une couleur moyenne, tigrée, douce. C'est un européen. Le museau un peu pointu, il n'a pas de signes particulier.
Ses troisièmes paupières ne se sont pas étirées. Ses pupilles ont progressivement gagné en taille lundi.
Il a été content de nous voir hier soir à la clinique. Il a ronronné davantage que le jour précédent aux câlins sous le menton et le tour de tête et a voulu se lever sans succès ni réessai. Il a bu mais n'a pas pu mangé. Il se semblait pas souffrir.
Selon les professionnels, il n'allait pas mieux mardi matin mais en soirée oui.
C'est que ce que nous avons constaté.
Je crois en un rétablissement des fonctions vitales au rythme nécessaire désormais que son urine s'évacue, mais le propos de la vétérinaire a assombrit ma position. Mon fils est très confiant.
Galoup est jeune et peut s'en sortir.
Si l'un ou l'une de Planète-homéopathie peut nous aider en quelque façon, avec un remède de soutien voire de guérison... ou d'accompagnement.
Je vous remercie.
Je peux donner d'autres détails bien entendu.
Homéopathiquement vôtre, Florence.