- 18 sept. 2020, 13:47
#64296
L. est une femme de 39 ans, douce, hypersensible ++, allant au bout de ses convictions.
Cela fait environ un mois et demi qu’elle souffre d’une très forte douleur à l’index gauche irradiant jusqu’à l’épaule.
Tout a commencé alors qu’elle peignait les murs de son salon. En s’acharnant énergiquement à démonter son vieux rouleau de peinture, en dépit des recommandations de son mari, elle se fait très mal au bout de l’index gauche en serrant et tirant au delà de ses forces le vieux manche en bois usé. La douleur intense est pressive. Elle ne remarque cependant aucun signe extérieur apparent.
Environ 20 min plus tard, elle ressent pourtant subitement une douleur piquante au bout de l’index gauche qu’elle trouve maintenant enflé. Elle décide d’examiner son doigt de plus près. Elle explore donc le bout de son doigt, à l’aide d’une aiguille, espérant extirper peut-être une écharde qui se serait logée sous la peau à son insu. Sans succès. Elle ne trouve strictement rien.
Le lendemain matin, au réveil, elle ressent, une nouvelle douleur intense qu’elle qualifie de rhumatismale. Démarrant au bout de l’index gauche, elle traverse la paume, le poignet, pour remonter et longer le bras jusqu’à atteindre l’épaule.
L. est agitée intérieurement. La nuit, ne trouvant point de position confortable, il lui arrive parfois de rester éveillée jusqu’au petit matin. La zone douloureuse est sensible au moindre mouvement, à la moindre pression.
A l’examen, son médecin ne remarque rien de particulier si ce n’est qu’une légère tuméfaction de la paume. Il lui prescrit 8 jours d’antibiotique et l’envoie chez le chirurgien pour un examen plus poussé.
L. arrive chez le chirurgien avec la même douleur rhumatismale irradiante intense après l’échec du traitement antibiotique. Seule l’eau chaude, si possible, brûlante, la soulage. Le spécialiste ne remarquera rien de plus que le médecin. Il exclura l’intrusion d’un corps étranger qui serait à l’origine de cette douleur rhumatismale remontant jusqu’à l’épaule. Il lui propose d’ailleurs d’effectuer une échographie de toute la région douloureuse pour confirmer son diagnostic et la rassurer.
L’échographie ne montrant finalement rien d’anormal, il la libère en lui prescrivant, au préalable, un antalgique. L. quitte le chirurgien soucieuse, préoccupée, elle n’est pas convaincue. En effet, l’antalgique ne calmera pas sa douleur.
Désespérée, L. me demande de lui trouver d’urgence un remède homéopathique qui pourrait enfin soulager sa douleur.
Je lui propose de tenter X.
La réaction est pratiquement immédiate.
La douleur rhumatismale irradiante disparaît complètement et définitivement en quelques heures.
Une tuméfaction légèrement rouge, dure et douloureuse apparaît cependant près du poignet gauche. De même, le bout de son index gauche est enflé et lui fait mal. Une douleur piquante, aggravée à la pression, très proche de celle qu’elle a ressentie le premier jour.
L. me contacte paniquée. Je tente de la calmer et lui propose de poursuivre dorénavant le traitement sous forme de frictions.
Quelques jours après, plus de traces de tuméfactions ni de douleurs.
J’ai eu récemment L. au téléphone, elle se sent à merveille. Elle a repris ses activités et dort enfin la nuit d’un sommeil profond.
Quel est donc le remède X qui a libéré L. de cette mystérieuse douleur ?
Cela fait environ un mois et demi qu’elle souffre d’une très forte douleur à l’index gauche irradiant jusqu’à l’épaule.
Tout a commencé alors qu’elle peignait les murs de son salon. En s’acharnant énergiquement à démonter son vieux rouleau de peinture, en dépit des recommandations de son mari, elle se fait très mal au bout de l’index gauche en serrant et tirant au delà de ses forces le vieux manche en bois usé. La douleur intense est pressive. Elle ne remarque cependant aucun signe extérieur apparent.
Environ 20 min plus tard, elle ressent pourtant subitement une douleur piquante au bout de l’index gauche qu’elle trouve maintenant enflé. Elle décide d’examiner son doigt de plus près. Elle explore donc le bout de son doigt, à l’aide d’une aiguille, espérant extirper peut-être une écharde qui se serait logée sous la peau à son insu. Sans succès. Elle ne trouve strictement rien.
Le lendemain matin, au réveil, elle ressent, une nouvelle douleur intense qu’elle qualifie de rhumatismale. Démarrant au bout de l’index gauche, elle traverse la paume, le poignet, pour remonter et longer le bras jusqu’à atteindre l’épaule.
L. est agitée intérieurement. La nuit, ne trouvant point de position confortable, il lui arrive parfois de rester éveillée jusqu’au petit matin. La zone douloureuse est sensible au moindre mouvement, à la moindre pression.
A l’examen, son médecin ne remarque rien de particulier si ce n’est qu’une légère tuméfaction de la paume. Il lui prescrit 8 jours d’antibiotique et l’envoie chez le chirurgien pour un examen plus poussé.
L. arrive chez le chirurgien avec la même douleur rhumatismale irradiante intense après l’échec du traitement antibiotique. Seule l’eau chaude, si possible, brûlante, la soulage. Le spécialiste ne remarquera rien de plus que le médecin. Il exclura l’intrusion d’un corps étranger qui serait à l’origine de cette douleur rhumatismale remontant jusqu’à l’épaule. Il lui propose d’ailleurs d’effectuer une échographie de toute la région douloureuse pour confirmer son diagnostic et la rassurer.
L’échographie ne montrant finalement rien d’anormal, il la libère en lui prescrivant, au préalable, un antalgique. L. quitte le chirurgien soucieuse, préoccupée, elle n’est pas convaincue. En effet, l’antalgique ne calmera pas sa douleur.
Désespérée, L. me demande de lui trouver d’urgence un remède homéopathique qui pourrait enfin soulager sa douleur.
Je lui propose de tenter X.
La réaction est pratiquement immédiate.
La douleur rhumatismale irradiante disparaît complètement et définitivement en quelques heures.
Une tuméfaction légèrement rouge, dure et douloureuse apparaît cependant près du poignet gauche. De même, le bout de son index gauche est enflé et lui fait mal. Une douleur piquante, aggravée à la pression, très proche de celle qu’elle a ressentie le premier jour.
L. me contacte paniquée. Je tente de la calmer et lui propose de poursuivre dorénavant le traitement sous forme de frictions.
Quelques jours après, plus de traces de tuméfactions ni de douleurs.
J’ai eu récemment L. au téléphone, elle se sent à merveille. Elle a repris ses activités et dort enfin la nuit d’un sommeil profond.
Quel est donc le remède X qui a libéré L. de cette mystérieuse douleur ?
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