- 22 juin 2020, 09:23
#63524
Bonjour à tou-te-s,
Je me prénomme Julie, je termine ma formation en kinésiologie et je vis à Bruxelles mais avant de me présenter plus en détail j'aimerais vous partager une petite "découverte".
Comme la plupart n’arrêtent pas de justifier l’inefficacité de l’homéopathie par le fameux « il n’y a rien dedans », je les ai pris au mot et j’ai écrit les remèdes avec leur dilution sur un bout de papier que j’ai collé sur le thymus (c’est une plage de lecture du corps) : et ça fonctionne !
Après tout, chaque hypothèse se doit d’être vérifiée.
Ça me permet également de reprendre espoir avec l’idée de pouvoir pratiquer l’homéopathie et de reprendre les cours puisque de cette manière je contourne leur loi idiote vis-à-vis d’un placebo.
Bref…
je vous la partage après avoir vérifié sur un bon nombre de personnes avec nux vomica.
J’ai repris l'idée du Professeur Broussalian de donner aux septiques du nux vomica 10000k mais en restant sur du 30k voire 200k.
je l’ai également vérifié à l’aveugle, c’est-à-dire sans dire à la personne que je lui donnais quelque chose et en cachant le petit papier dans l’oreiller.
A ma fille d’abord avec thuya parce qu’elle avait des verrues et qu’elle transpirait des parties découvertes.
A mon conjoint ensuite avec luesinum que j’avais d’abord confondu avec sulfur par peur des nosodes. Mais je ne lui avais pas encore donné sulfur, j'étais encore sur nux vomica. Par contre, pour éviter luesinum, il y a quelque temps je lui avais donné mercurius : Malheur ! Heureusement le covid est venu me faire une petite piqure de rappel sur le premier symptôme à prendre en compte en présence d'épidémie hahaha.
Je l’ai également testé sur mon petit chien épileptique pour lequel j’avais demandé de l’aide sur le forum. Nux vomica a eu un magnifique effet. A chaque retour de symptômes j’ai redonné en dose liquide en secouant une fois de plus mais son action s’est tari. je suis passée à 200k et à partir de là c’était fini.
Avant chaque crise on avait l’impression qu’il mastiquait un chewing-gum. Je savais que ce symptôme était le plus important mais malheureusement avec mon peu de connaissances il m’était impossible de le trouver dans le répertoire.
Suite à une paralysie totale de ses membres, j’ai donc contacté une vétérinaire « homéopathe » qui lui a donné kalium carbonicum. Je n’ai pas la connaissance pour la contredire même si je pensais au fond de moi que ce n’était pas le bon remède.
je l’ai suivi en me disant que j’allais faire attention aux aggravations dissimilaires. Elle me parlait de bruxisme mais ça m’a mis sur la voie pour rechercher « mastication ».
Après la prise de kalium j’ai pu remarqué que sa région rénale devenait chaude, sa tête aussi mais c’était constant surtout avant une crise et ses pattes froides.
je lui note donc phosphorus 30K que je colle à son collier malgré mes préjugés et ça fonctionne.
On voit tout de suite qu’un « courant » (je ne sais pas comment l’expliquer autrement sans connaissances médicales) recircule dans ses pattes.
J’ai continué à lui donner sur son collier en augmentant les dilutions en fonction des retours de symptômes et à ce jour il est amélioré à tous les niveaux (même son poil est redevenu doux et brillant).
Voilà tout ce que je peux vous dire aujourd’hui et je sais à quel point cela peut paraître fou !
De mon côté j'utilise arsenicum et je dois avouer qu'il a changé ma vie même si je ne sais pas encore très bien l'utiliser.
Mais c'est pour moi beaucoup plus facile à gérer de cette manière parce que je n'ai pas à reprendre de dose. Les retours de symptômes se faisant uniquement lorsque toute la dilution a été épuisée. Et puis comme je suis aggravée par le café que j'aime tant (en réalité par les boissons chaudes), cela me permet de vérifier s'il s'agit bien d'une aggravation : en effet si le café m'améliore c'est donc qu'il antidote. Du coup je n'ai plus qu'à diminuer la dilution ou enlever le papier.
J'ai également beaucoup réfléchi, avant de trouver arsenicum à ce que Julien m'avait dit lors de mon bref passage sur le forum :
"pourquoi continuer à faire cela si tu en as conscience? cela veut-il dire qu'il y a quelque chose d'inconscient chez toi qui te pousse vers l'absurde?"
Je l'entendais déjà réfléchir à un remède et probablement à Hyocyamus.
Il avait raison et je n'en avais pas conscience : j'aime beaucoup l'absurde parce qu'il est le lieu de la créativité lorsque l'on abandonne la peur du jugement. Il a ce talent de nous confronter à nos préjugés et de les faire tomber si l'on accepte d'y voir les rencontres accidentelles d'où naissent la poésie.
J'ai donc été relire la matière médicale et je me suis affublée de veratrum : malheur à nouveau !
A ce moment-là je l'ai pris en dose liquide et même le café n'a pas fait grand-chose.
J'ai essayé beaucoup de remèdes avant de trouver arsenicum. L'avantage doublé d'un inconvénient c'est que je réagis fortement aux remèdes donc ça m'a permis de comprendre certaines choses, éclairée par les premiers cours. j'ai besoin de ressentir pour comprendre mais dans le cadre de l'homéopathie c'est un peu masochiste.
D'ailleurs j'avais également essayé arsenicum mais son efficacité avait été partielle avant d'avoir utilisé nitricum acidum.
Mes questionnements vont surement vous paraître ridicules mais du coup je me suis dit qu'il pouvait bien y avoir une histoire de chronologie obligatoire dans l'ordre des remèdes. Ou alors NA a suffisamment atténué mes migraines pour que je puisse cibler leur fonctionnement, à savoir un démarrage par une pulsation à la racine du nez.
Sinon, pour me présenter à vous et revenir à mon parcours un peu désordonné, j'ai d'abord, enfant, eu une grande passion pour l'équitation au point de vouloir en faire mon métier. J'adore les animaux (enfin sauf les chats). Les chevaux et les chiens particulièrement comme mes questions sur le forum ont pu le laisser sous-entendre.
J'ai ensuite fait une première année en diététique mais la source de ce que l'on me demandait d'apprendre ne me convenait pas.
De là, je suis partie en fac d'arts plastiques où mon côté tatillon se régalait des cours de philosophie de l'art et sémiotique.
J'ai ensuite exercé en tant que photographe et je n'irais pas jusqu'à dire critique d'art mais j'écrivais des textes sur l'art.
J'y suis restée de longues années jusqu'à ce que je ne puisse plus supporter le masque des apparences et le réseautage de ce milieu.
A partir de là, même si mon rêve aurait été d'être homéopathe, n'étant pas médecin ce n'était pas possible de l'envisager.
Je me suis donc orientée vers la kinésiologie dont je termine actuellement la formation.
C'est d'ailleurs pour cette raison que j'ai décalé le début des cours d'homéopathie même si je ne passe pas une journée sans lire quelque chose.
Ma grande difficulté étant que je n'ai ni le vocable ni la compréhension médicale donc le répertoire reste très compliqué à utiliser sans cette analyse.
Voilà voilà vous savez tout.
Il m'a fallu faire un gros effort et lâcher cette peur absurde de perdre toute forme de crédibilité pour me présenter puisqu'au fond elle ne cache qu'une autre peur irrationnelle de ne pas être aimé. Or le ridicule ne tue pas.
Au commencement était le verbe après tout. Le verbe s'est fait chair et non l'inverse. Il faut vraiment avoir un complexe de surpuissance pour croire que la matière pourrait créer et modifier l'information racine.
Je vous souhaite une belle journée
Julie
Je me prénomme Julie, je termine ma formation en kinésiologie et je vis à Bruxelles mais avant de me présenter plus en détail j'aimerais vous partager une petite "découverte".
Comme la plupart n’arrêtent pas de justifier l’inefficacité de l’homéopathie par le fameux « il n’y a rien dedans », je les ai pris au mot et j’ai écrit les remèdes avec leur dilution sur un bout de papier que j’ai collé sur le thymus (c’est une plage de lecture du corps) : et ça fonctionne !
Après tout, chaque hypothèse se doit d’être vérifiée.

Ça me permet également de reprendre espoir avec l’idée de pouvoir pratiquer l’homéopathie et de reprendre les cours puisque de cette manière je contourne leur loi idiote vis-à-vis d’un placebo.
Bref…
je vous la partage après avoir vérifié sur un bon nombre de personnes avec nux vomica.
J’ai repris l'idée du Professeur Broussalian de donner aux septiques du nux vomica 10000k mais en restant sur du 30k voire 200k.
je l’ai également vérifié à l’aveugle, c’est-à-dire sans dire à la personne que je lui donnais quelque chose et en cachant le petit papier dans l’oreiller.
A ma fille d’abord avec thuya parce qu’elle avait des verrues et qu’elle transpirait des parties découvertes.
A mon conjoint ensuite avec luesinum que j’avais d’abord confondu avec sulfur par peur des nosodes. Mais je ne lui avais pas encore donné sulfur, j'étais encore sur nux vomica. Par contre, pour éviter luesinum, il y a quelque temps je lui avais donné mercurius : Malheur ! Heureusement le covid est venu me faire une petite piqure de rappel sur le premier symptôme à prendre en compte en présence d'épidémie hahaha.
Je l’ai également testé sur mon petit chien épileptique pour lequel j’avais demandé de l’aide sur le forum. Nux vomica a eu un magnifique effet. A chaque retour de symptômes j’ai redonné en dose liquide en secouant une fois de plus mais son action s’est tari. je suis passée à 200k et à partir de là c’était fini.
Avant chaque crise on avait l’impression qu’il mastiquait un chewing-gum. Je savais que ce symptôme était le plus important mais malheureusement avec mon peu de connaissances il m’était impossible de le trouver dans le répertoire.
Suite à une paralysie totale de ses membres, j’ai donc contacté une vétérinaire « homéopathe » qui lui a donné kalium carbonicum. Je n’ai pas la connaissance pour la contredire même si je pensais au fond de moi que ce n’était pas le bon remède.
je l’ai suivi en me disant que j’allais faire attention aux aggravations dissimilaires. Elle me parlait de bruxisme mais ça m’a mis sur la voie pour rechercher « mastication ».
Après la prise de kalium j’ai pu remarqué que sa région rénale devenait chaude, sa tête aussi mais c’était constant surtout avant une crise et ses pattes froides.
je lui note donc phosphorus 30K que je colle à son collier malgré mes préjugés et ça fonctionne.
On voit tout de suite qu’un « courant » (je ne sais pas comment l’expliquer autrement sans connaissances médicales) recircule dans ses pattes.
J’ai continué à lui donner sur son collier en augmentant les dilutions en fonction des retours de symptômes et à ce jour il est amélioré à tous les niveaux (même son poil est redevenu doux et brillant).
Voilà tout ce que je peux vous dire aujourd’hui et je sais à quel point cela peut paraître fou !
De mon côté j'utilise arsenicum et je dois avouer qu'il a changé ma vie même si je ne sais pas encore très bien l'utiliser.
Mais c'est pour moi beaucoup plus facile à gérer de cette manière parce que je n'ai pas à reprendre de dose. Les retours de symptômes se faisant uniquement lorsque toute la dilution a été épuisée. Et puis comme je suis aggravée par le café que j'aime tant (en réalité par les boissons chaudes), cela me permet de vérifier s'il s'agit bien d'une aggravation : en effet si le café m'améliore c'est donc qu'il antidote. Du coup je n'ai plus qu'à diminuer la dilution ou enlever le papier.
J'ai également beaucoup réfléchi, avant de trouver arsenicum à ce que Julien m'avait dit lors de mon bref passage sur le forum :
"pourquoi continuer à faire cela si tu en as conscience? cela veut-il dire qu'il y a quelque chose d'inconscient chez toi qui te pousse vers l'absurde?"
Je l'entendais déjà réfléchir à un remède et probablement à Hyocyamus.
Il avait raison et je n'en avais pas conscience : j'aime beaucoup l'absurde parce qu'il est le lieu de la créativité lorsque l'on abandonne la peur du jugement. Il a ce talent de nous confronter à nos préjugés et de les faire tomber si l'on accepte d'y voir les rencontres accidentelles d'où naissent la poésie.
J'ai donc été relire la matière médicale et je me suis affublée de veratrum : malheur à nouveau !
A ce moment-là je l'ai pris en dose liquide et même le café n'a pas fait grand-chose.
J'ai essayé beaucoup de remèdes avant de trouver arsenicum. L'avantage doublé d'un inconvénient c'est que je réagis fortement aux remèdes donc ça m'a permis de comprendre certaines choses, éclairée par les premiers cours. j'ai besoin de ressentir pour comprendre mais dans le cadre de l'homéopathie c'est un peu masochiste.
D'ailleurs j'avais également essayé arsenicum mais son efficacité avait été partielle avant d'avoir utilisé nitricum acidum.
Mes questionnements vont surement vous paraître ridicules mais du coup je me suis dit qu'il pouvait bien y avoir une histoire de chronologie obligatoire dans l'ordre des remèdes. Ou alors NA a suffisamment atténué mes migraines pour que je puisse cibler leur fonctionnement, à savoir un démarrage par une pulsation à la racine du nez.
Sinon, pour me présenter à vous et revenir à mon parcours un peu désordonné, j'ai d'abord, enfant, eu une grande passion pour l'équitation au point de vouloir en faire mon métier. J'adore les animaux (enfin sauf les chats). Les chevaux et les chiens particulièrement comme mes questions sur le forum ont pu le laisser sous-entendre.
J'ai ensuite fait une première année en diététique mais la source de ce que l'on me demandait d'apprendre ne me convenait pas.
De là, je suis partie en fac d'arts plastiques où mon côté tatillon se régalait des cours de philosophie de l'art et sémiotique.
J'ai ensuite exercé en tant que photographe et je n'irais pas jusqu'à dire critique d'art mais j'écrivais des textes sur l'art.
J'y suis restée de longues années jusqu'à ce que je ne puisse plus supporter le masque des apparences et le réseautage de ce milieu.
A partir de là, même si mon rêve aurait été d'être homéopathe, n'étant pas médecin ce n'était pas possible de l'envisager.
Je me suis donc orientée vers la kinésiologie dont je termine actuellement la formation.
C'est d'ailleurs pour cette raison que j'ai décalé le début des cours d'homéopathie même si je ne passe pas une journée sans lire quelque chose.
Ma grande difficulté étant que je n'ai ni le vocable ni la compréhension médicale donc le répertoire reste très compliqué à utiliser sans cette analyse.
Voilà voilà vous savez tout.
Il m'a fallu faire un gros effort et lâcher cette peur absurde de perdre toute forme de crédibilité pour me présenter puisqu'au fond elle ne cache qu'une autre peur irrationnelle de ne pas être aimé. Or le ridicule ne tue pas.
Au commencement était le verbe après tout. Le verbe s'est fait chair et non l'inverse. Il faut vraiment avoir un complexe de surpuissance pour croire que la matière pourrait créer et modifier l'information racine.
Je vous souhaite une belle journée
Julie
La pluie a changé de mélodie, elle a maintenant une odeur de printemps.