- 27 févr. 2021, 09:08
#65891
Bonjour,
Petite question tirée de l'observation :
Je n'ai pas encore le niveau pour prescrire sérieusement de l'homéopathie, je continue encore donc mon activité de micronutrition et quelque chose me frappe. J'ai l'impression que cette discipline peut parfois améliorer un peu le niveau de santé, contrairement à ce que j'ai compris du cours. On arrive certes rapidement à un plafond que l'on ne peut dépasser, mais l'amélioration est claire selon les critères homéopathiques.
J'ai par exemple le cas d'un enfant que je suis depuis plus d'un an pour des intolérances multiples, avec de graves troubles digestifs et des troubles émotionnels et du comportement. Après des mois de traitement purement micronutritionnels, les signes digestifs se sont nettement améliorés, même si ce n'est pas parfait, idem pour les troubles émotionnels. Il commence par ailleurs à faire des angines fébriles à répétition, lui qui n'était "jamais malade".
J'en conclue à une petite augmentation du niveau de santé, avec l'apparition de symptômes superficiels à mesure que les symptômes profonds diminuent.
Cela me pose questions :
- ai-je tout faux dans l'interprétation ou suis-je forcément passé à côté de quelque chose ?
- peut-on améliorer un tant soit peu le niveau de santé par des méthodes nutritionnelles ?
- puisque nous avons vu en cours que la malbouffe et les additifs alimentaires néfastes, ainsi que l'abus d'alcool pouvait être pourvoyeurs de miasmes, est-ce que l'amélioration de l'hygiène de vie, les supplémentations et autres méthodes nutritionnels ne peuvent-elles pas créer l'effet inverse, ou limiter l'activité du miasme ?
- j'en profite pour poser un question sur quelque chose qui m'a étonné en cours : la supplémentation en vitamine D peut-elle supprimer des symptômes ? ou est-ce à cause des additifs éventuels ? Comment une molécule habituellement utilisée par l'organisme peut-elle supprimer un symptôme ?
C'est un peu logorrhéique, mais j'espère que cela reste clair
Petite question tirée de l'observation :
Je n'ai pas encore le niveau pour prescrire sérieusement de l'homéopathie, je continue encore donc mon activité de micronutrition et quelque chose me frappe. J'ai l'impression que cette discipline peut parfois améliorer un peu le niveau de santé, contrairement à ce que j'ai compris du cours. On arrive certes rapidement à un plafond que l'on ne peut dépasser, mais l'amélioration est claire selon les critères homéopathiques.
J'ai par exemple le cas d'un enfant que je suis depuis plus d'un an pour des intolérances multiples, avec de graves troubles digestifs et des troubles émotionnels et du comportement. Après des mois de traitement purement micronutritionnels, les signes digestifs se sont nettement améliorés, même si ce n'est pas parfait, idem pour les troubles émotionnels. Il commence par ailleurs à faire des angines fébriles à répétition, lui qui n'était "jamais malade".
J'en conclue à une petite augmentation du niveau de santé, avec l'apparition de symptômes superficiels à mesure que les symptômes profonds diminuent.
Cela me pose questions :
- ai-je tout faux dans l'interprétation ou suis-je forcément passé à côté de quelque chose ?
- peut-on améliorer un tant soit peu le niveau de santé par des méthodes nutritionnelles ?
- puisque nous avons vu en cours que la malbouffe et les additifs alimentaires néfastes, ainsi que l'abus d'alcool pouvait être pourvoyeurs de miasmes, est-ce que l'amélioration de l'hygiène de vie, les supplémentations et autres méthodes nutritionnels ne peuvent-elles pas créer l'effet inverse, ou limiter l'activité du miasme ?
- j'en profite pour poser un question sur quelque chose qui m'a étonné en cours : la supplémentation en vitamine D peut-elle supprimer des symptômes ? ou est-ce à cause des additifs éventuels ? Comment une molécule habituellement utilisée par l'organisme peut-elle supprimer un symptôme ?
C'est un peu logorrhéique, mais j'espère que cela reste clair