- 05 juin 2014, 14:45
#31622
Je me permets de solliciter votre aide pour ma chatte de 13 ans qui vient d'avoir le diagnostic suivant :
- tumeur mammaire
- bronchite chronique
- s'arrache les poils du bas du ventre : stress
Je n'étais pas à la consultation, le vétérinaire lui a directement fait une injection de je-ne-sais-quoi (supposons au minimum antibiotique) et lui a donné un traitement de 10j de :
- MARBOCYL P : antibiotique
- ZYLKENE : anxiolytique
Antécédents :
- ablation à 5 ans de l'utérus en "raison" d'une infection, pas d'étiologie connue
- chute des poils du cou il y a 1 an suite à une saloperie de collier anti-puce, n'ont jamais repoussé, elle développe des éruptions lorsqu'on lui met un collier
- c'est peut-être anecdotique mais peut-être pas (étiologie anxiété ?) : sa première année, lors d'une sortie "gouttière/toits" si propre aux chats (et aux maîtres qui veulent les laisser vivre), elle n'est pas revenue. Je l'ai donc perdue mais l'ai retrouvée 1 an et demi plus tard (alors que j'avais quitté la ville et ne faisait que passer !), toute maigre, comme si elle avait erré dans la ville pendant tout ce temps (magnifiques et magiques retrouvailles, grosses émotions
)
Autres symptômes et détails :
- Depuis l'opération de l'utérus, a pris peu à peu beaucoup de poids (5,5 kg à ce jour) mal réparti, essentiellement autour du ventre (effet ballon, la pauvre). Elle semble ne plus savoir se réguler au niveau alimentation, mange trop, il faut la limiter sans cesse mais réclame sans cesse... appétit très vorace : quand on la sert, elle se jette dessus et dévore tellement vite qu'il lui arrive de vomir dans sa gamelle en mangeant.
- Ne supporte pas du tout les voyages en voiture et ascenseurs : se met à miauler ("pleurer"), baver fortement, s'agiter dans sa cage, urine, vomissements et défécation (parfois de type diarrhéique). Sur ces épisodes aigus prévisibles, j'avais d'abord essayé bêtement Cocculus sans succès, puis Aconitum en comprenant enfin qu'il s'agissait d'anxiété soudaine très élevée. Elle réagit à chaque fois magnifiquement à Aconitum 30CH en olfaction et ne développe donc plus ces symptômes aigus ou très légèrement.
- Tumeur : elle a débuté il y a au moins un an, sans inquiétude dans un premier temps vu sa tendance à s'engraisser : palpation pas évidente mais je m'en mords les doigts de ne pas m'être inquiété. Ne semble aucunement douloureuse. Se situe sur le mamelon en haut du thorax à gauche. Fait désormais environ 3 cm de diamètre.
- Bronchite : a commencé des crises également il y a environ un an. Unique symptôme visible : une sorte de toux qui ne ressemble pas vraiment à une toux, mais à de fortes expirations légèrement râclantes, plus précisément des sortes de râles, qui me laissaient croire qu'il s'agissait d'une gêne des poils qu'elle a tendance à s'arracher. Une dizaine de râles puis plus rien, pouvant arriver plusieurs fois par jour comme 2 fois par mois, se terminant parfois par un vomissement.
- Arrachage des poils : il y a 1 an également lors d'un "déménagement" temporaire. Je dois dire que personnellement je ne l'ai jamais vraiment vue faire. Il est possible qu'elle le faisait surtout en mon absence. Peu probable que ce soit une perte spontanée de poils. Elle a recommencé cette année lors du même "déménagement", moins marqué mais semble devenir chronique malgré son retour chez elle.
- C'est une chatte d'une gentillesse extrême, absolument pas farouche ni violente (sauf quand elle joue mais ça me paraît normal). Elle n'est pas collante mais TRES jalouse quand une dulcinée tourne autour de moi (hum, je me dois de donner ce détail, cet aspect étant très marqué). Là elle devient très collante, fait son intéressante et peut même "pleurer" à cause du rejet que je suis obligé de lui exprimer pour avoir la paix.
- Lors d'un épisode tragique dans notre famille, elle a fortement réagi. Elle a été "insupportable" car - uniquement à cette période - elle urinait tous les jours dans sa gamelle. Peut-être estimait-elle qu'on ne s'occupait pas assez d'elle (nous nous occupions de quelqu'un d'autre), ou bien elle était mal comme nous l'étions, je ne saurais dire. Elle est certes jalouse mais aussi très sensible voire aussi compatissante si je peux me permettre (et si je ne me fais pas d'illusions). C'était il y a 2 ans et demi.
- Moins énergique cette année... en raison de l'âge et/ou de la pathologie, je ne sais pas. Je l'emmène régulièrement à la campagne, elle chasse toutefois encore.
Ce soir elle doit commencer les comprimés d'antibiotiques. J'aimerais toutefois - évidemment ! - agir avec un remède homéopathique, car on sait tous ici que l'allopathie va continuer à la plonger dans son déséquilibre. Et je suis évidemment très inquiet du pronostic d'une tumeur cancéreuse.
Le miasme me paraît être une vieille sycose bien avancée si ce n'est l'arrachage des poils. Pour l'instant, je n'y ai pas assez réfléchi et préfère laisser de côté mon ego qui se satisferait évidemment de trouver tout seul, mais il faut aller au plus vite en raison du traitement allopathique que je risque de finir par donner pour la bronchite, voilà pourquoi je fais si vite appel à vous. J'imagine que nous devrions arriver sur un remède anti-sycotique ayant aussi une face luétique. Je débute les recherches en parallèle.
Merci d'avance pour votre aide !
- tumeur mammaire
- bronchite chronique
- s'arrache les poils du bas du ventre : stress
Je n'étais pas à la consultation, le vétérinaire lui a directement fait une injection de je-ne-sais-quoi (supposons au minimum antibiotique) et lui a donné un traitement de 10j de :
- MARBOCYL P : antibiotique
- ZYLKENE : anxiolytique
Antécédents :
- ablation à 5 ans de l'utérus en "raison" d'une infection, pas d'étiologie connue
- chute des poils du cou il y a 1 an suite à une saloperie de collier anti-puce, n'ont jamais repoussé, elle développe des éruptions lorsqu'on lui met un collier
- c'est peut-être anecdotique mais peut-être pas (étiologie anxiété ?) : sa première année, lors d'une sortie "gouttière/toits" si propre aux chats (et aux maîtres qui veulent les laisser vivre), elle n'est pas revenue. Je l'ai donc perdue mais l'ai retrouvée 1 an et demi plus tard (alors que j'avais quitté la ville et ne faisait que passer !), toute maigre, comme si elle avait erré dans la ville pendant tout ce temps (magnifiques et magiques retrouvailles, grosses émotions

Autres symptômes et détails :
- Depuis l'opération de l'utérus, a pris peu à peu beaucoup de poids (5,5 kg à ce jour) mal réparti, essentiellement autour du ventre (effet ballon, la pauvre). Elle semble ne plus savoir se réguler au niveau alimentation, mange trop, il faut la limiter sans cesse mais réclame sans cesse... appétit très vorace : quand on la sert, elle se jette dessus et dévore tellement vite qu'il lui arrive de vomir dans sa gamelle en mangeant.
- Ne supporte pas du tout les voyages en voiture et ascenseurs : se met à miauler ("pleurer"), baver fortement, s'agiter dans sa cage, urine, vomissements et défécation (parfois de type diarrhéique). Sur ces épisodes aigus prévisibles, j'avais d'abord essayé bêtement Cocculus sans succès, puis Aconitum en comprenant enfin qu'il s'agissait d'anxiété soudaine très élevée. Elle réagit à chaque fois magnifiquement à Aconitum 30CH en olfaction et ne développe donc plus ces symptômes aigus ou très légèrement.
- Tumeur : elle a débuté il y a au moins un an, sans inquiétude dans un premier temps vu sa tendance à s'engraisser : palpation pas évidente mais je m'en mords les doigts de ne pas m'être inquiété. Ne semble aucunement douloureuse. Se situe sur le mamelon en haut du thorax à gauche. Fait désormais environ 3 cm de diamètre.
- Bronchite : a commencé des crises également il y a environ un an. Unique symptôme visible : une sorte de toux qui ne ressemble pas vraiment à une toux, mais à de fortes expirations légèrement râclantes, plus précisément des sortes de râles, qui me laissaient croire qu'il s'agissait d'une gêne des poils qu'elle a tendance à s'arracher. Une dizaine de râles puis plus rien, pouvant arriver plusieurs fois par jour comme 2 fois par mois, se terminant parfois par un vomissement.
- Arrachage des poils : il y a 1 an également lors d'un "déménagement" temporaire. Je dois dire que personnellement je ne l'ai jamais vraiment vue faire. Il est possible qu'elle le faisait surtout en mon absence. Peu probable que ce soit une perte spontanée de poils. Elle a recommencé cette année lors du même "déménagement", moins marqué mais semble devenir chronique malgré son retour chez elle.
- C'est une chatte d'une gentillesse extrême, absolument pas farouche ni violente (sauf quand elle joue mais ça me paraît normal). Elle n'est pas collante mais TRES jalouse quand une dulcinée tourne autour de moi (hum, je me dois de donner ce détail, cet aspect étant très marqué). Là elle devient très collante, fait son intéressante et peut même "pleurer" à cause du rejet que je suis obligé de lui exprimer pour avoir la paix.
- Lors d'un épisode tragique dans notre famille, elle a fortement réagi. Elle a été "insupportable" car - uniquement à cette période - elle urinait tous les jours dans sa gamelle. Peut-être estimait-elle qu'on ne s'occupait pas assez d'elle (nous nous occupions de quelqu'un d'autre), ou bien elle était mal comme nous l'étions, je ne saurais dire. Elle est certes jalouse mais aussi très sensible voire aussi compatissante si je peux me permettre (et si je ne me fais pas d'illusions). C'était il y a 2 ans et demi.
- Moins énergique cette année... en raison de l'âge et/ou de la pathologie, je ne sais pas. Je l'emmène régulièrement à la campagne, elle chasse toutefois encore.
Ce soir elle doit commencer les comprimés d'antibiotiques. J'aimerais toutefois - évidemment ! - agir avec un remède homéopathique, car on sait tous ici que l'allopathie va continuer à la plonger dans son déséquilibre. Et je suis évidemment très inquiet du pronostic d'une tumeur cancéreuse.
Le miasme me paraît être une vieille sycose bien avancée si ce n'est l'arrachage des poils. Pour l'instant, je n'y ai pas assez réfléchi et préfère laisser de côté mon ego qui se satisferait évidemment de trouver tout seul, mais il faut aller au plus vite en raison du traitement allopathique que je risque de finir par donner pour la bronchite, voilà pourquoi je fais si vite appel à vous. J'imagine que nous devrions arriver sur un remède anti-sycotique ayant aussi une face luétique. Je débute les recherches en parallèle.
Merci d'avance pour votre aide !