- 13 mars 2013, 17:03
#52315
PACKAGE 1 : VOCATION - IDEAL THERAPEUTIQUE - ETIOLOGIE - CAUSALITE
M1T1 : VOCATION MEDICALE 10/10/2012Paragraphe 1 de l’Organon
« La plus haute et même l'unique vocation du médecin est de rétablir la santé des personnes malades, c'est ce qu'on appelle guérir. » S.Hahnemann
Ce cours est certainement le plus important de la formation car il nous interroge sur nos motivations profondes de médecin. Il pose les fondements de notre pratique médicale : quel genre de médecin souhaitons-nous être ou devenir ?
Le médecin doit se poser un certains nombre de questions avant d’entreprendre l’étude de l’Homéopathie. A travers l’Organon, S.Hahnemann nous invite à la réflexion. Qu’est ce que la maladie ? Qu’est-ce que guérir ? Qu’est-ce qu’un médecin ? Mon souhait est-il de soulager la maladie ou le malade ?
Que voulait dire Hahnemann lorsqu’il parle de rétablissement de la santé ?
Loin de vouloir soulager en supprimant les symptômes du patient comme le faisaient les médecins de son époque, il nous encourage à rechercher comment revenir en arrière vers un état de santé originel.
Le cours répondra succinctement à ces questions :
Les maladies sont-elles héréditaires ?
Que sont les niveaux et les critères de santé ?
En outre, Hahnemann pose la question fondamentale de l'abandon de la démarche réductionniste. L'homéopathie repose sur la stricte observation de la nature, sans préjugés ni théories. Elle démontre que nous ne pourrons jamais comprendre l'ensemble des rouages du vivant et qu'il nous faut nous baser seulement sur les symptômes qui sont l'expression du désordre interne qui restera à jamais inconnaissable directement. E.B.
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M1T2 : IDEAL THERAPEUTIQUE 12/10/2012
Paragraphe 2 de l’Organon
« L'idéal thérapeutique consiste à rétablir la santé d'une manière rapide, douce et permanente, à enlever et à détruire la maladie dans son intégralité, par la voie la plus courte, la plus sûre et la moins nuisible, cela d'après des principes clairs et intelligibles ». S.Hahnemann
L’homéopathie est la médecine basée sur l’expérimentation. Elle ne laisse pas de place à des théories et hypothèses sur les modalités de guérison du patient. C’est sur la base de nombreuses expérimentations que Hahnemann a pu constater qu’il était possible de guérir les patients dans les conditions indiquées dans le paragraphe 2 de l’Organon.
Mais comment peut-on être sûr que l’on procède à une guérison, autrement dit quels sont les critères qui définissent la guérison ? La suppression ou la disparition d’un ou plusieurs symptômes sont-ils la preuve que le malade est guéri ?
Ce cours remet en cause le paradigme de la médecine classique. Il nous interroge sur ce qu’est réellement une guérison et au final ce qui fait l’essence même du médecin.
Le cours répond également à ces quelques questions :
Sous quel rapport certaines techniques de médecines naturelles (phytothérapie, aromathérapie) sont-elles comparables à l’allopathie ?
Que provoquent les suppressions de symptômes ? L’homéopathie est-elle capable d’en faire ?
Sur la base de la loi de similitude, faut-il une infinité de médicaments pour faire face à une infinité de cas ?
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M1T3 : COMPETENCE MEDICALE 17/10/2012
Paragraphe 3 de l’Organon
Hahnemann nous enseigne les 3 compétences fondamentales que le médecin doit maitriser pour amener le patient vers la guérison :
1) Connaitre la matière médicale
2) Savoir appliquer les médicaments
3) Savoir écarter les barrages
C’est le premier point qui est abordé dans ce cours : CONNAITRE LA MATIERE MEDICALE
Il ne s’agit pas d’apprendre par cœur tous les symptômes de chaque remède de manière à trouver une concordance avec les symptômes du patient. La chose est beaucoup plus subtile que cela. Le cours nous enseigne de quelle façon l’étudiant doit étudier la matière médicale, comment percevoir l’essence du remède, ce qu’il y a de curatif dans le médicament, à rechercher la résonnance entre l’essence du remède et l’essence du patient.
Le cours nous rappelle que sans principes ni lois, l’expérience du thérapeute est utile à peu de choses dans la recherche du médicament. Ce n’est pas en premier lieu, l’expérience qui doit guider l’homéopathe mais les lois et principes fondamentaux de l’homéopathie.
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M1T4 : ETIOLOGIE 18/10/2012
Paragraphe 3 et 4 de l’Organon
Poursuite du cours précédent sur les compétences médicales à acquérir par l’homéopathe.
Savoir appliquer les médicaments
La qualité des médicaments est-elle optimale ? Sous quelle forme administrer ?
Comment estimer la quantité (dose) et la qualité (dynamisation) du remède ?
A quel moment la dose doit être répétée ?
Ici encore la notion d’individualisation est très importante : la dose, la dynamisation et la répétition doivent être individualisées et le prescripteur en mesure de justifier sa prescription.
Savoir écarter les barrages
Il est des cas où le remède, bien que présentant une forte similitude, n’agit pas sur le patient. Le cours nous donne des clefs pour identifier les obstacles à la prescription et les moyens de remediation.
Nous analysons à travers le quatrième paragraphe de l’Organon les agents perturbateurs capables de rendre malade un individu : les causes occasionnelles, la susceptibilité individuelle, les miasmes chroniques. A travers les travaux de certains chercheurs, le cours nous enseigne que pour comprendre les facteurs étiologiques, il faut considérer un certains nombre de faits scientifiques dans le domaine de la biologie :
- les mêmes causes n’engendrent pas les mêmes effets
- la cessation de la cause n’entraine pas la disparition des effets
- toute action sur le vivant est conditionnelle
- le vivant forme une unité capable d’autoréparation, de duplication sans perte d’information
- le vivant est régit pas la notion de susceptibilité individuelle
Définition et caractéristiques du miasme : agent infectieux de nature dynamique qui se greffe sur le force vitale qui n’a aucune tendance à la guérison et il est transmissible à la descendance.
La notion de force vitale et la corrélation entre susceptibilité et les niveaux de santé sont largement abordées dans ce cours.
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M1T5 : CAUSALITE Première Partie 24/10/2012
Paragraphe 5 de l’Organon
Hahnemann sépare deux phénomènes morbides : la maladie aiguë qui est la conséquence soit d’une cause occasionnelle ou de l’exacerbation aiguë de la maladie chronique, soit la maladie chronique. Mais comment les identifier ? Nous reviendrons plus tard dans les caractéristiques fondamentales des maladies mais ce cours est une introduction nécessaire à cette étude pour pouvoir aborder les différents points développés par le Fondateur dans l’Organon.
Evolution centripète de la maladie : Hahnemann a constaté que lorsque les symptômes périphériques étaient supprimées, ils étaient remplacés par d’autres plus profonds ce qui nous fait comprendre pourquoi la suppression des symptômes dégrade inévitablement l’état de santé d’un individu. Le cours revient sur cette notion et répond finalement à cette question fondamentale : être en bonne santé, c’est quoi ?
Il est fait, dans ce cours, une première approche des miasmes qui seront étudiés en détail plus tard (package 4 et 5) avec une présentation des deux premiers miasmes identifiés par Hahnemann : la psore et la sycose.
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M1T6 : CAUSALITE Deuxième partie 24/10/2012
Paragraphe 5 de l’Organon
On poursuit notre première approche des miasmes avec la présentation du miasme syphilitique (la luèse) et du miasme tuberculinique que Hahnemann appelait la pseudo-psore et qui est un mélange de réactions psoriques et syphilitiques.
Etude du miasme aigu et du miasme chronique à travers deux maladies : la rougeole et la syphilis. Nous voyons que les maladies ne présentent pas les mêmes caractéristiques quand on analyse plusieurs facteurs : la durée, le type de guérison, la progression de la maladie et la direction de la maladie (centrifuge ou centripète). Ce sont ces différences qui permettent de comprendre que l’on est en présence soit d’une maladie aigue soit d’une maladie chronique.
Définition du miasme : n’a aucune tendance à la guérison dans le temps, de nature contagieuse, transmissible à la descendance.
Présentation de la galaxie des remèdes : à travers un diagramme, il s’agit d’avoir une première approche sur la façon dont sont connectés les remèdes, une idée des principaux reflexes à avoir dans la prescription des remèdes.
Le cours conclut par la nécessité de bien connaitre la constitution et les tempéraments des remèdes qui seront étudiés en détail dans le cours suivant.
Pour visionner le diagramme, cliquez sur le liensuivant: galaxie-des-remedes-homeopathiques-t185.html
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PACKAGE 2 : PRINCIPE VITAL - TOTALITE DES SYMPTOMES - SIMILITUDE
M2T10 ET M2T11 : LE PRINCIPE VITAL
Paragraphe 9 et 10 de l’Organon
Qu’est ce que la force vitale ?
La médecine homéopathique s’appuie, entre autre, sur cette notion de force vitale.
Ce cours nous aide à saisir ce qu’est cette force vitale dont les lois biologiques sont non seulement différentes des lois de la physique mais surtout ne sont pas compréhensibles par l’être humain.
S. Hahnemann nous apprend que la perturbation a lieu sur les organes du plan supérieur, à travers certains systèmes d’organes. Le mental, le système nerveux, le système endocrinien, le système immunitaire. Le système organique dans lequel la force vital produira le plus de symptômes ne dépend pas uniquement de la nature de l’altération mais aussi de la sensibilité ou de la faiblesse d’un organe et de la détermination d‘ordre génétique.
Il existe des lois propres à la biologie. Les lois du monde de l’inanimé ne sont pas les mêmes que celles du monde animé. Les êtres vivants ne répondent pas aux lois de la physique :
1) Les mêmes causes n’engendrent pas les mêmes effets
2) La cessation de la cause n’entraine pas la disparation des effets
3) Toute action sur le vivant est conditionnelle
4) Le vivant est capable d’auto réparation
5) Le vivant est capable de se dupliquer sans perte d’information
6) Le vivant est régi par la notion de susceptibilité individuelle
Dans la recherche de la compréhension du fonctionnement de l’énergie vitale. Hahnemann nous met également en garde à vouloir percer les secrets de la vie. L’homéopathe n’a pas à comprendre comment la force vitale provoque la maladie (qui nous reste caché) mais plutôt comment interpréter les symptomes de la maladie pour guérir le patient.
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M2T12 : LA MALADIE : LE DESACORDEMENT DE L’ENERGIE VITALE
Paragraphe 11 à 14 de l’Organon
C’est la rupture d’équilibre de la force vitale, le désaccordement de l’énergie vitale qui cause la maladie. Par conséquent, la maladie (comme l’admet la médecine classique) :
- N’est pas une entité séparée de l’être vivant
- N’est pas une entité isolée de l’énergie vitale
- N’est pas une entité cachée à l’intérieur du corps qu’il faut supprimer
Pour bien comprendre le malade et les maladies, l’homéopathe doit avoir une vision spirituelle des choses et non matérialiste. Il doit admettre que le principe de force vitale le dépasse, qu’il existe une différence entre le monde matériel et le monde dynamique.
Questions auxquelles répond le cours :
Quelles sont les maladies incurables ? Quel lien y-a-t-il entre le désaccordement de l’énergie vitale et l’incurabilité des maladies ?
Quelle stratégie adopter lorsque l’on est face à une maladie incurable ?
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PACKAGE 3 : LES SEMBLABLES - METHODES THERAPEUTIQUES
M3T17 : LES SEMBLABLES – Théorie substitutive 05/12/2012
Paragraphe 25 à 30 de l’Organon
L’homéopathie repose sur ses propres lois naturelles déduites de la seule observation. Elle ne repose sur aucune hypothèse ou spéculation creuse. Hahnemann a fondé l’homéopathie, non sur la physique ou la chimie, mais sur les lois universelles de la vie et du mouvement.
La loi de similitude permet d’observer que le remède curateur guérit le malade mais en aucun cas de comprendre pourquoi le remède guérit.
A ce jour, personne n’est en mesure d’expliquer pourquoi la loi des semblables permet la guérison des malades mais parallèlement, personne n’est en mesure non plus de réfuter cette loi.
L’étudiant doit être conscient que le rôle d’un homéopathe n’est pas d’expliquer les lois de l’homéopathie, ce qui se passe dans la guérison, mais de guérir.
Voici la définition que le Fondateur nous donne de l’homéopathie : « Dans l’organisme vivant, une affection dynamique plus faible est éteinte de manière durable par une plus forte si celle-ci (différente d’espèce) lui ressemble beaucoup dans sa manifestation »
Il faut donc respecter 3 lois pour obtenir une guérison :
- La maladie artificielle (le médicament homéopathique) doit être semblable à la maladie naturelle
- La maladie artificielle doit être plus puissante que la maladie naturelle
- La maladie artificielle doit être différence en genre (ou en espèce) de la maladie naturelle
Ces 3 lois amènent inévitablement 3 questions pour lesquelles l’étudiant trouvera les réponses dans ce cours :
1) Que doit-on entendre par "semblable" ?
2) En quoi et comment la maladie doit être "plus forte" ?
3) En quoi la maladie artificielle doit-elle être "différente" en genre ?
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M3T18 : RECEPTIVITE ET COMBINAISONS DE PATHOLOGIES
Paragraphe 31 à 34 de l'Organon
Dans ces quatre paragraphes de l’Organon, Hahnemann insiste sur les notions de receptivité et de susceptibilité. Toujours par l’observation, le Fondateur a remarqué que les influences délétères naturelles ne rendent pas malades n’importe qui et n’importe quand.
Les agents pathogènes naturels ont un pouvoir très conditionnel de provoquer des maladies. En revanche les substances chimiques allopatiques ont le pouvoir souverain de provoquer immanquablement une perturbation physiologique de l’homme sain.
Ce cours nous apprend les conditions essentielles pour qu’une maladie affecte notre force vitale ET ce qui se passe lorsque deux maladies dissemblables affectent la force vitale d’un individu.
Pour mieux comprendre comment l’organisme réagit face à des agents dynamiques de nature et de puissance différente, nous devons comprendre les notions de receptivite et de suceptibilité qui sont largement expliqué dans ce cours.
Questions auxquelles le cours repond :
Pourquoi est-il inutile et contre productif de répéter un remède lorsque celui-ci cesse d’être homéopathique ?
Quelle est la différence entre receptivité morbide et suceptibilité personnelle ?
Quand faut-il répeter ?
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M3T19 : REVISION INTERFERENCES MALADIE DISSEMBLABLES – REACTIONS MALADIES SEMBLABLES
Paragraphe 43 à 50 de l’Organon
« Deux maladies artificielles ou naturelles différentes par leur genre mais très analogues par leurs manifestations et leurs effets, comme par les souffrances et les symptômes que chacune détermine, s'anéantissent toujours, dès qu'elles se rencontrent dans l'organisme. » S.H
Révision du cours précédent relatif aux effets de l’interaction des maladies dissemblables sur la force vitale.
Que se passe-t-il maintenant lorsque deux maladies semblables rentrent en interférences ?
L’observation nous apprend qu’elles ne peuvent ni se repousser l’une l’autre, ni se suspendre, ni se partager le terrain et subsister cote à côte. Elles se détruisent mutuellement. Ainsi pour qu’il y ait guérison, il faut que l’organisme soit en contact avec une maladie qui ressemble à la maladie naturelle.
Le cours explique en détail quelles sont les conditions pour qu’une guérison homéopathique s’opére. Elles sont au nombre de trois :
1) La maladie artificielle (le médicament) doit «ressembler» le plus possible à la maladie naturelle
2) L’agent pathogène artificiel (le médicament) doit être différent en genre ou espèce. Plus la différence d’espèce est grande, plus puissant sera l’effet thérapeutique
3) La force de l’agent dynamique (le médicament) doit être supérieure à celle de la pathologie à traiter.
Dans la prescription homéopathique, le choix de la préparation, de la dynamisation et de la dose joueront également un rôle très important dans la puissance médicamenteuse.
Questions auxquelles répond le cours :
Les personnes qui sont peu médicamentées ont-elles théoriquement moins besoin de hautes dilutions ?
Une très haute dynamisation peut-elle se révéler dangereuse pour le malade même si elle n’est pas répétée ?
Y-a-t-il des cas ou les isopathiques sont utiles ?
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Pour accéder au graphique : m3t18-receptivite-combinaisons-06-12-12-t431.html
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M3T20 : DEUX MALADIES SEMBLABLES
Paragraphe 48 à 50 de l’Organon
« Guérissez par la similitude des semblables » S.Hahnemann
Suite et fin du cours sur les maladies semblables.
Le cours fait une place importante à la pratique moderne de l’homéopathie et met en garde contre les dérives actuelles au travers de courants pseudo-scientifiques qui sous couvert d’homéopathie dénature la médecine homéopathique en violant le principe de similitude.
L’homéopathie dote la médecine d’un nouveau paradigme basé sur un ensemble de faits (observations), de principes (expérimentations), de théorie (force vitale) et de lois (des semblables). C’est en cela qu’elle est diamétralement opposée à la méthode allopathique
Le cours répond également à ces questions :
Comment Hahnemann pouvait-il faire des guérisons avec seulement une trentaine de remèdes. L’homéopathe doit-il avoir à sa disposition de nouveaux remèdes pour guérir les nouvelles pathologies émergeantes ?
S.Hahnemann utilise à plusieurs reprises le mot homéothérapie. Quelle différence fait-il avec l’homéopathie ?
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M3T21 : PRECELLENCE DES MEDICAMENTS
Paragraphe 51 de l’Organon 51-62
Les médicaments homéopathiques ne souffrent d’aucune comparaison avec les n’importe quel autre agents dynamique.
Le médecin peut les atténuer, diviser, dynamiser presque à l’infini. Il peut également les doser à souhait. Par ailleurs, les médicaments sont de substances pathogènes dont la durée d’action est limitée qui évite tout risque de créer un miasme.
On note également le nombre quasi illimité d’agents thérapeutiques à notre disposition et présents dans la nature qui peuvent servir de remèdes.
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M3T22 : METHODES THERAPEUTIQUES
M3T23 et M3T24: ALLOPATHIE ET SYNDROME DE SUPPRESSION
Paragraphe 52 à 62 de l’Organon
Ces cours font une analyse différentielle approfondie des 2 méthodes thérapeutiques énoncées par Hahnemann (homéopathie, allopathie).
La matière est trop dense pour pouvoir résumer ces enseignements mais une part non négligeable du cours est centrée sur la guérison.
Ce cours est un véritable réquisitoire de d’Hahnemann et de l’enseignant contre la médecine allopathique qui donne l’illusion de la santé en masquant les symptômes alors que l’état de santé des malades baisse inéluctablement en laissant des séquelles et adynamies.
Peut-on être à la fois homéopathe et allopathe ? Au fond, c’est la question à laquelle ce cours essaie de répondre…
S.H revient cependant sur les différentes situations d’urgences médicales qui font exception à la prescription homéopathique.
Introduction au cours suivant d’Action Réaction.
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PACKAGE 4 : PRINCIPE D'ACTION RECATION - CRITERES MORBIDES - LES MIASMES - LA PSORE
M4T25 : PRINCIPE D’ACTION REACTION 16/01/2013
Paragraphe 63 à 69 de l’Organon
Le principe d’action-réaction nous aide à mieux comprendre l’effet réactionnel du médicament sur la force vitale. A travers des exemples concrets et les lois de la Physique, le cours nous aide à comprendre que l’intensité de l’effet réactionnel est proportionnelle à l’action exercée sur l’énergie vitale. Si nous saisissons ce principe fondamental nous pourrons mieux prescrire, c'est-à-dire évaluer avec précision la quantité (dose) et la dynamisation.
Partant de ce principe, le cours répond notamment à ces questions :
Quelle est la quantité minimale à administrer pour qu’une réaction ait lieu ou pour débloquer un cas ?
L’organisme est-il capable de faire une réaction vive avec une dose très faible ?
Comme le prétendait Kent, est-il exact que c’est la dynamisation qui a de l’importance et non la dose ?
Peut-on vraiment dégrader l’état de santé d’un malade avec une dose et/ou une dynamisation non adaptées ? Si oui, que faire en cas de surdose ? Quel remède prescrire ?
A travers la physique quantique et notamment les études de Maupertuis, Einstein et Planck, le principe de moindre action est abordé. Elles nous montrent que :
1) Pour provoquer une réaction satisfaisante, la quantité nécessaire doit être la plus petite qu’il soit
2) Il n’y a pas de sensibilité linéaire aux dynamisations (la force vitale réagit à des seuils d’énergie et non pas de manière linéaire)
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M4T26 : PRINCIPE DE MOINDRE ACTION 17/01/2013
Paragraphe 69 et 70 de l’Organon
Petit résumé du cours précédent.
Ce cours est un résumé détaillé des principes généraux de la médecine. En voici les grandes lignes :
1) La totalité des symptômes représente tout ce que l’on peut reconnaitre chez le malade et tout ce qui doit être guéri. Les symptômes étant ceux exprimés par le malade, ceux révélés par l’anamnèse et ceux décelés par le médecin par l’examen médical. Ces symptômes fournissent la clé thérapeutique.
2) Le dérèglement de la force vitale ne peut être converti en santé que par un autre dérèglement de l’énergie vitale au moyen de médicaments.
3) Les faits et les expériences nous montrent qu’il est impossible de guérir une maladie naturelle à l’aide de médicaments qui ont la capacité de produire des symptômes dissimilaires. Ils ne peuvent, au mieux, que procurer une amélioration temporaire tout en abaissant l’état de santé de l’individu.
4) Seuls les médicaments capables de produire des symptômes similaires à la maladie naturelle sont capables de guérir
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M4T27 : CRITERES MORBIDES 23/01/2013
Paragraphe 72 à 77 de l’Organon
Les principes généraux de la médecine étant terminés, nous débutons avec ce cours l’approche médicale avec notamment la façon d’examiner le patient.
Le diagnostic et le traitement sont les actes essentiels de la médecine, le traitement étant subordonné au diagnostic.
Nous apprenons quelles sont les qualités requises du médecin pour effectuer un diagnostic. Certaines sont peut-être innées chez nous mais d’autres devront être travaillées !
Mais que doit diagnostiquer le médecin ?
Ce cours répond à cette question et nous montre que des connaissances sur la thérapeutique sont d’un grand secours. En effet, discerner l’étiologie d’une maladie et savoir localiser la pathologie ne suffisent pas. Le médecin doit notamment connaitre ce qui distingue une maladie d’une autre et identifier la maladie.
L’homéopathe doit également connaitre la différence fondamentale entre une maladie aiguë et une maladie chronique. C’est à partir de cette connaissance que peut se faire la prescription du médicament. La deuxième partie du cours se propose de répondre à ces questions :
Les maladies chroniques peuvent-elles guérir d’elles-mêmes ?
Comment reconnaitre facilement si l’on est en présence d’une maladie aiguë ou d’une maladie chronique ?
Comment les maladies aiguës se développent-elles ?
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M4T28 : LES MIASMES 24/01/2013
Paragraphe 78 à 81 de l’Organon
« Le miasme est une aide, un outil de recherche du type de médicament que vous allez administrer »
E.Broussalian
Quel est l’intérêt du diagnostic pour l’homéopathe ? Sert-il vraiment à choisir le médicament ?
Faut-il partir de la thérapeutique pour traiter un cas (chercher le remède de la maladie) ? Il nous est montré ici que dans les maladies aiguës, il convient de trouver le remède qui convient au cas parmi les grands remèdes de la maladie.
Il existe des substances capables de désaccorder et de bouleverser l’énergie vitale. Les médicaments et l’intoxication des produits chimiques issus de l’industrie agroalimentaire en sont quelques unes. Il en résulte des pathologies chroniques appelées miasmes qui n’ont aucune tendance à la guérison quelques soient les efforts que nous faisons pour rendre excellente notre hygiène de vie.
L’homéopathe doit connaitre les miasmes non pas pour en faire une classification fumeuse pseudo-scientifique mais pour l’aider à diagnostiquer la maladie.
L’homéopathie peut-elle tout guérir ? Hahnemann semblait dire que certains cas étaient incurables. A quoi reconnait-on qu’un cas est incurable ?
Combien de temps faut-il pour rattraper X années de maladie avec l’homéopathie ?
Le cours répond à toutes ces questions.
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M4T30 : LA PSORE Première partie 30/01/2013
« Il y a quelque chose chez le patient qui ne le laisse pas progresser vers la guérison » S.Hannemann
C’est à partir de ce constat que Hannemann a pu étudier et identifier ces barrages, les miasmes, qui empêchent la guérison du malade même après l’administration d’un médicament dont l’homéopathicité est forte. La psore est le premier barrage qui est étudié ici.
Ce cours est une introduction à la psore. Avant de rentrer dans le vif du sujet, l’étudiant apprendra à différencier une maladie aiguë d’une maladie chronique en identifiant les différents stades de la maladie pour chacune d’elles. Le cours permettra de répondre notamment à ces questions fondamentales : comment démarre la maladie chronique ? Quel est la relation entre niveau de santé et miasme ? L’homéopathe peut-il prescrire un médicament sans connaitre les miasmes ?
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M4T31 : LA PSORE Deuxième partie 31/01/2013
Pour discerner rapidement le miasme caractéristique du patient, le thérapeute doit se mettre dans une disposition d’esprit particulière. Ce cours nous révèle les conditions essentielles pour atteindre cet objectif et répond à ces interrogations :
Quelle est l’attitude à tenir devant des cas compliqués et en quoi la connaissance des miasmes nous aide-t-elle à les solutionner plus rapidement ?
Quelle est la démarche logique à mettre en œuvre par l’homéopathe pour rechercher le miasme ?
Introduction à la répartition d’énergie en fonction de l’état de santé (1ère partie).
Le cours fait également référence à ce que certains grands homéopathes nous enseignent sur les miasmes.
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M4T32 : LA PSORE Troisième partie 06/02/2013
Les interventions du Dr Broussalian Père rendent ce cours très vivant. Ses anecdotes, son expérience et sa conviction vont certainement renforcer votre volonté d’en apprendre toujours plus sur l’homéopathie.
Suite et fin concernant de la répartition d’énergie (2ème partie)
Retour à travers des exemples sur l’administration de remèdes aigus dans l’exacerbation aigüe de la maladie chronique et des remèdes chroniques dans la psore.
Une fois la psore définie, l’étudiant va apprendre à la reconnaitre parmi tous les autres miasmes.
Manque d’énergie et de force, idées farfelus ou philosophiques, hypersensibilité, etc … : autant de mots clefs pour reconnaitre la psore et son remède qui lui est associé SULFUR. Si l’on voulait transposer la psore à un personnage : on penserait volontiers à un personnage de BD : GASTON LAGAFFE !
On rentre enfin dans le vif du sujet avec une présentation symptomatique précise de la PSORE sur le plan émotionnel.
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M4T33 : LA PSORE Quatrième partie 07/02/12
Ce cours est essentiel dans la bonne compréhension de la psore. Il revient sur les symptômes émotionnels de la psore et présente les symptômes physiques caractéristiques.
Après l’interrogatoire du patient, l’homéopathe devra mettre en place une stratégie rationnelle
- Soit le tableau symptomatique est clair et la prescription du remède est indiquée
- Soit le cas est confus et le diagnostic du miasme est impératif pour faire avancer le cas
Le cours nous apprend à diagnostiquer le miasme psorique et décrit en détail le roi des antipsoriques : SULFUR qui possède au plus haut point l’expression émotionnelle, mentale et physique du miasme.
Une comparaison est faite entre Sulfur et les médicaments végétaux satellites de la psore qui précèdent volontiers Sulfur dans la prescription.
Le cours répond également à ces questions :
Existe-t-il des médicaments qui sont plurimiasmatiques ?
Comment reconnaitre un enfant psorique lors de la consultation ?
Dans les cas confus, si l’on soupçonne un cas psorique, faut-il donner systématiquement Sulfur ou est-il judicieux de considérer d’autres remèdes ?
M1T1 : VOCATION MEDICALE 10/10/2012Paragraphe 1 de l’Organon
« La plus haute et même l'unique vocation du médecin est de rétablir la santé des personnes malades, c'est ce qu'on appelle guérir. » S.Hahnemann
Ce cours est certainement le plus important de la formation car il nous interroge sur nos motivations profondes de médecin. Il pose les fondements de notre pratique médicale : quel genre de médecin souhaitons-nous être ou devenir ?
Le médecin doit se poser un certains nombre de questions avant d’entreprendre l’étude de l’Homéopathie. A travers l’Organon, S.Hahnemann nous invite à la réflexion. Qu’est ce que la maladie ? Qu’est-ce que guérir ? Qu’est-ce qu’un médecin ? Mon souhait est-il de soulager la maladie ou le malade ?
Que voulait dire Hahnemann lorsqu’il parle de rétablissement de la santé ?
Loin de vouloir soulager en supprimant les symptômes du patient comme le faisaient les médecins de son époque, il nous encourage à rechercher comment revenir en arrière vers un état de santé originel.
Le cours répondra succinctement à ces questions :
Les maladies sont-elles héréditaires ?
Que sont les niveaux et les critères de santé ?
En outre, Hahnemann pose la question fondamentale de l'abandon de la démarche réductionniste. L'homéopathie repose sur la stricte observation de la nature, sans préjugés ni théories. Elle démontre que nous ne pourrons jamais comprendre l'ensemble des rouages du vivant et qu'il nous faut nous baser seulement sur les symptômes qui sont l'expression du désordre interne qui restera à jamais inconnaissable directement. E.B.
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M1T2 : IDEAL THERAPEUTIQUE 12/10/2012
Paragraphe 2 de l’Organon
« L'idéal thérapeutique consiste à rétablir la santé d'une manière rapide, douce et permanente, à enlever et à détruire la maladie dans son intégralité, par la voie la plus courte, la plus sûre et la moins nuisible, cela d'après des principes clairs et intelligibles ». S.Hahnemann
L’homéopathie est la médecine basée sur l’expérimentation. Elle ne laisse pas de place à des théories et hypothèses sur les modalités de guérison du patient. C’est sur la base de nombreuses expérimentations que Hahnemann a pu constater qu’il était possible de guérir les patients dans les conditions indiquées dans le paragraphe 2 de l’Organon.
Mais comment peut-on être sûr que l’on procède à une guérison, autrement dit quels sont les critères qui définissent la guérison ? La suppression ou la disparition d’un ou plusieurs symptômes sont-ils la preuve que le malade est guéri ?
Ce cours remet en cause le paradigme de la médecine classique. Il nous interroge sur ce qu’est réellement une guérison et au final ce qui fait l’essence même du médecin.
Le cours répond également à ces quelques questions :
Sous quel rapport certaines techniques de médecines naturelles (phytothérapie, aromathérapie) sont-elles comparables à l’allopathie ?
Que provoquent les suppressions de symptômes ? L’homéopathie est-elle capable d’en faire ?
Sur la base de la loi de similitude, faut-il une infinité de médicaments pour faire face à une infinité de cas ?
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M1T3 : COMPETENCE MEDICALE 17/10/2012
Paragraphe 3 de l’Organon
Hahnemann nous enseigne les 3 compétences fondamentales que le médecin doit maitriser pour amener le patient vers la guérison :
1) Connaitre la matière médicale
2) Savoir appliquer les médicaments
3) Savoir écarter les barrages
C’est le premier point qui est abordé dans ce cours : CONNAITRE LA MATIERE MEDICALE
Il ne s’agit pas d’apprendre par cœur tous les symptômes de chaque remède de manière à trouver une concordance avec les symptômes du patient. La chose est beaucoup plus subtile que cela. Le cours nous enseigne de quelle façon l’étudiant doit étudier la matière médicale, comment percevoir l’essence du remède, ce qu’il y a de curatif dans le médicament, à rechercher la résonnance entre l’essence du remède et l’essence du patient.
Le cours nous rappelle que sans principes ni lois, l’expérience du thérapeute est utile à peu de choses dans la recherche du médicament. Ce n’est pas en premier lieu, l’expérience qui doit guider l’homéopathe mais les lois et principes fondamentaux de l’homéopathie.
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M1T4 : ETIOLOGIE 18/10/2012
Paragraphe 3 et 4 de l’Organon
Poursuite du cours précédent sur les compétences médicales à acquérir par l’homéopathe.
Savoir appliquer les médicaments
La qualité des médicaments est-elle optimale ? Sous quelle forme administrer ?
Comment estimer la quantité (dose) et la qualité (dynamisation) du remède ?
A quel moment la dose doit être répétée ?
Ici encore la notion d’individualisation est très importante : la dose, la dynamisation et la répétition doivent être individualisées et le prescripteur en mesure de justifier sa prescription.
Savoir écarter les barrages
Il est des cas où le remède, bien que présentant une forte similitude, n’agit pas sur le patient. Le cours nous donne des clefs pour identifier les obstacles à la prescription et les moyens de remediation.
Nous analysons à travers le quatrième paragraphe de l’Organon les agents perturbateurs capables de rendre malade un individu : les causes occasionnelles, la susceptibilité individuelle, les miasmes chroniques. A travers les travaux de certains chercheurs, le cours nous enseigne que pour comprendre les facteurs étiologiques, il faut considérer un certains nombre de faits scientifiques dans le domaine de la biologie :
- les mêmes causes n’engendrent pas les mêmes effets
- la cessation de la cause n’entraine pas la disparition des effets
- toute action sur le vivant est conditionnelle
- le vivant forme une unité capable d’autoréparation, de duplication sans perte d’information
- le vivant est régit pas la notion de susceptibilité individuelle
Définition et caractéristiques du miasme : agent infectieux de nature dynamique qui se greffe sur le force vitale qui n’a aucune tendance à la guérison et il est transmissible à la descendance.
La notion de force vitale et la corrélation entre susceptibilité et les niveaux de santé sont largement abordées dans ce cours.
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M1T5 : CAUSALITE Première Partie 24/10/2012
Paragraphe 5 de l’Organon
Hahnemann sépare deux phénomènes morbides : la maladie aiguë qui est la conséquence soit d’une cause occasionnelle ou de l’exacerbation aiguë de la maladie chronique, soit la maladie chronique. Mais comment les identifier ? Nous reviendrons plus tard dans les caractéristiques fondamentales des maladies mais ce cours est une introduction nécessaire à cette étude pour pouvoir aborder les différents points développés par le Fondateur dans l’Organon.
Evolution centripète de la maladie : Hahnemann a constaté que lorsque les symptômes périphériques étaient supprimées, ils étaient remplacés par d’autres plus profonds ce qui nous fait comprendre pourquoi la suppression des symptômes dégrade inévitablement l’état de santé d’un individu. Le cours revient sur cette notion et répond finalement à cette question fondamentale : être en bonne santé, c’est quoi ?
Il est fait, dans ce cours, une première approche des miasmes qui seront étudiés en détail plus tard (package 4 et 5) avec une présentation des deux premiers miasmes identifiés par Hahnemann : la psore et la sycose.
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M1T6 : CAUSALITE Deuxième partie 24/10/2012
Paragraphe 5 de l’Organon
On poursuit notre première approche des miasmes avec la présentation du miasme syphilitique (la luèse) et du miasme tuberculinique que Hahnemann appelait la pseudo-psore et qui est un mélange de réactions psoriques et syphilitiques.
Etude du miasme aigu et du miasme chronique à travers deux maladies : la rougeole et la syphilis. Nous voyons que les maladies ne présentent pas les mêmes caractéristiques quand on analyse plusieurs facteurs : la durée, le type de guérison, la progression de la maladie et la direction de la maladie (centrifuge ou centripète). Ce sont ces différences qui permettent de comprendre que l’on est en présence soit d’une maladie aigue soit d’une maladie chronique.
Définition du miasme : n’a aucune tendance à la guérison dans le temps, de nature contagieuse, transmissible à la descendance.
Présentation de la galaxie des remèdes : à travers un diagramme, il s’agit d’avoir une première approche sur la façon dont sont connectés les remèdes, une idée des principaux reflexes à avoir dans la prescription des remèdes.
Le cours conclut par la nécessité de bien connaitre la constitution et les tempéraments des remèdes qui seront étudiés en détail dans le cours suivant.
Pour visionner le diagramme, cliquez sur le liensuivant: galaxie-des-remedes-homeopathiques-t185.html
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PACKAGE 2 : PRINCIPE VITAL - TOTALITE DES SYMPTOMES - SIMILITUDE
M2T10 ET M2T11 : LE PRINCIPE VITAL
Paragraphe 9 et 10 de l’Organon
Qu’est ce que la force vitale ?
La médecine homéopathique s’appuie, entre autre, sur cette notion de force vitale.
Ce cours nous aide à saisir ce qu’est cette force vitale dont les lois biologiques sont non seulement différentes des lois de la physique mais surtout ne sont pas compréhensibles par l’être humain.
S. Hahnemann nous apprend que la perturbation a lieu sur les organes du plan supérieur, à travers certains systèmes d’organes. Le mental, le système nerveux, le système endocrinien, le système immunitaire. Le système organique dans lequel la force vital produira le plus de symptômes ne dépend pas uniquement de la nature de l’altération mais aussi de la sensibilité ou de la faiblesse d’un organe et de la détermination d‘ordre génétique.
Il existe des lois propres à la biologie. Les lois du monde de l’inanimé ne sont pas les mêmes que celles du monde animé. Les êtres vivants ne répondent pas aux lois de la physique :
1) Les mêmes causes n’engendrent pas les mêmes effets
2) La cessation de la cause n’entraine pas la disparation des effets
3) Toute action sur le vivant est conditionnelle
4) Le vivant est capable d’auto réparation
5) Le vivant est capable de se dupliquer sans perte d’information
6) Le vivant est régi par la notion de susceptibilité individuelle
Dans la recherche de la compréhension du fonctionnement de l’énergie vitale. Hahnemann nous met également en garde à vouloir percer les secrets de la vie. L’homéopathe n’a pas à comprendre comment la force vitale provoque la maladie (qui nous reste caché) mais plutôt comment interpréter les symptomes de la maladie pour guérir le patient.
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M2T12 : LA MALADIE : LE DESACORDEMENT DE L’ENERGIE VITALE
Paragraphe 11 à 14 de l’Organon
C’est la rupture d’équilibre de la force vitale, le désaccordement de l’énergie vitale qui cause la maladie. Par conséquent, la maladie (comme l’admet la médecine classique) :
- N’est pas une entité séparée de l’être vivant
- N’est pas une entité isolée de l’énergie vitale
- N’est pas une entité cachée à l’intérieur du corps qu’il faut supprimer
Pour bien comprendre le malade et les maladies, l’homéopathe doit avoir une vision spirituelle des choses et non matérialiste. Il doit admettre que le principe de force vitale le dépasse, qu’il existe une différence entre le monde matériel et le monde dynamique.
Questions auxquelles répond le cours :
Quelles sont les maladies incurables ? Quel lien y-a-t-il entre le désaccordement de l’énergie vitale et l’incurabilité des maladies ?
Quelle stratégie adopter lorsque l’on est face à une maladie incurable ?
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PACKAGE 3 : LES SEMBLABLES - METHODES THERAPEUTIQUES
M3T17 : LES SEMBLABLES – Théorie substitutive 05/12/2012
Paragraphe 25 à 30 de l’Organon
L’homéopathie repose sur ses propres lois naturelles déduites de la seule observation. Elle ne repose sur aucune hypothèse ou spéculation creuse. Hahnemann a fondé l’homéopathie, non sur la physique ou la chimie, mais sur les lois universelles de la vie et du mouvement.
La loi de similitude permet d’observer que le remède curateur guérit le malade mais en aucun cas de comprendre pourquoi le remède guérit.
A ce jour, personne n’est en mesure d’expliquer pourquoi la loi des semblables permet la guérison des malades mais parallèlement, personne n’est en mesure non plus de réfuter cette loi.
L’étudiant doit être conscient que le rôle d’un homéopathe n’est pas d’expliquer les lois de l’homéopathie, ce qui se passe dans la guérison, mais de guérir.
Voici la définition que le Fondateur nous donne de l’homéopathie : « Dans l’organisme vivant, une affection dynamique plus faible est éteinte de manière durable par une plus forte si celle-ci (différente d’espèce) lui ressemble beaucoup dans sa manifestation »
Il faut donc respecter 3 lois pour obtenir une guérison :
- La maladie artificielle (le médicament homéopathique) doit être semblable à la maladie naturelle
- La maladie artificielle doit être plus puissante que la maladie naturelle
- La maladie artificielle doit être différence en genre (ou en espèce) de la maladie naturelle
Ces 3 lois amènent inévitablement 3 questions pour lesquelles l’étudiant trouvera les réponses dans ce cours :
1) Que doit-on entendre par "semblable" ?
2) En quoi et comment la maladie doit être "plus forte" ?
3) En quoi la maladie artificielle doit-elle être "différente" en genre ?
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M3T18 : RECEPTIVITE ET COMBINAISONS DE PATHOLOGIES
Paragraphe 31 à 34 de l'Organon
Dans ces quatre paragraphes de l’Organon, Hahnemann insiste sur les notions de receptivité et de susceptibilité. Toujours par l’observation, le Fondateur a remarqué que les influences délétères naturelles ne rendent pas malades n’importe qui et n’importe quand.
Les agents pathogènes naturels ont un pouvoir très conditionnel de provoquer des maladies. En revanche les substances chimiques allopatiques ont le pouvoir souverain de provoquer immanquablement une perturbation physiologique de l’homme sain.
Ce cours nous apprend les conditions essentielles pour qu’une maladie affecte notre force vitale ET ce qui se passe lorsque deux maladies dissemblables affectent la force vitale d’un individu.
Pour mieux comprendre comment l’organisme réagit face à des agents dynamiques de nature et de puissance différente, nous devons comprendre les notions de receptivite et de suceptibilité qui sont largement expliqué dans ce cours.
Questions auxquelles le cours repond :
Pourquoi est-il inutile et contre productif de répéter un remède lorsque celui-ci cesse d’être homéopathique ?
Quelle est la différence entre receptivité morbide et suceptibilité personnelle ?
Quand faut-il répeter ?
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Lien vers le forum traitant de ce cours : m3t18-receptivite-combinaisons-06-12-12-t431.html
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M3T19 : REVISION INTERFERENCES MALADIE DISSEMBLABLES – REACTIONS MALADIES SEMBLABLES
Paragraphe 43 à 50 de l’Organon
« Deux maladies artificielles ou naturelles différentes par leur genre mais très analogues par leurs manifestations et leurs effets, comme par les souffrances et les symptômes que chacune détermine, s'anéantissent toujours, dès qu'elles se rencontrent dans l'organisme. » S.H
Révision du cours précédent relatif aux effets de l’interaction des maladies dissemblables sur la force vitale.
Que se passe-t-il maintenant lorsque deux maladies semblables rentrent en interférences ?
L’observation nous apprend qu’elles ne peuvent ni se repousser l’une l’autre, ni se suspendre, ni se partager le terrain et subsister cote à côte. Elles se détruisent mutuellement. Ainsi pour qu’il y ait guérison, il faut que l’organisme soit en contact avec une maladie qui ressemble à la maladie naturelle.
Le cours explique en détail quelles sont les conditions pour qu’une guérison homéopathique s’opére. Elles sont au nombre de trois :
1) La maladie artificielle (le médicament) doit «ressembler» le plus possible à la maladie naturelle
2) L’agent pathogène artificiel (le médicament) doit être différent en genre ou espèce. Plus la différence d’espèce est grande, plus puissant sera l’effet thérapeutique
3) La force de l’agent dynamique (le médicament) doit être supérieure à celle de la pathologie à traiter.
Dans la prescription homéopathique, le choix de la préparation, de la dynamisation et de la dose joueront également un rôle très important dans la puissance médicamenteuse.
Questions auxquelles répond le cours :
Les personnes qui sont peu médicamentées ont-elles théoriquement moins besoin de hautes dilutions ?
Une très haute dynamisation peut-elle se révéler dangereuse pour le malade même si elle n’est pas répétée ?
Y-a-t-il des cas ou les isopathiques sont utiles ?
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Lien vers le forum traitant de ce cours : m3t19-revision-interferences-deux-affections-semblables-t499.html
Pour accéder au graphique : m3t18-receptivite-combinaisons-06-12-12-t431.html
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M3T20 : DEUX MALADIES SEMBLABLES
Paragraphe 48 à 50 de l’Organon
« Guérissez par la similitude des semblables » S.Hahnemann
Suite et fin du cours sur les maladies semblables.
Le cours fait une place importante à la pratique moderne de l’homéopathie et met en garde contre les dérives actuelles au travers de courants pseudo-scientifiques qui sous couvert d’homéopathie dénature la médecine homéopathique en violant le principe de similitude.
L’homéopathie dote la médecine d’un nouveau paradigme basé sur un ensemble de faits (observations), de principes (expérimentations), de théorie (force vitale) et de lois (des semblables). C’est en cela qu’elle est diamétralement opposée à la méthode allopathique
Le cours répond également à ces questions :
Comment Hahnemann pouvait-il faire des guérisons avec seulement une trentaine de remèdes. L’homéopathe doit-il avoir à sa disposition de nouveaux remèdes pour guérir les nouvelles pathologies émergeantes ?
S.Hahnemann utilise à plusieurs reprises le mot homéothérapie. Quelle différence fait-il avec l’homéopathie ?
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M3T21 : PRECELLENCE DES MEDICAMENTS
Paragraphe 51 de l’Organon 51-62
Les médicaments homéopathiques ne souffrent d’aucune comparaison avec les n’importe quel autre agents dynamique.
Le médecin peut les atténuer, diviser, dynamiser presque à l’infini. Il peut également les doser à souhait. Par ailleurs, les médicaments sont de substances pathogènes dont la durée d’action est limitée qui évite tout risque de créer un miasme.
On note également le nombre quasi illimité d’agents thérapeutiques à notre disposition et présents dans la nature qui peuvent servir de remèdes.
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M3T22 : METHODES THERAPEUTIQUES
M3T23 et M3T24: ALLOPATHIE ET SYNDROME DE SUPPRESSION
Paragraphe 52 à 62 de l’Organon
Ces cours font une analyse différentielle approfondie des 2 méthodes thérapeutiques énoncées par Hahnemann (homéopathie, allopathie).
La matière est trop dense pour pouvoir résumer ces enseignements mais une part non négligeable du cours est centrée sur la guérison.
Ce cours est un véritable réquisitoire de d’Hahnemann et de l’enseignant contre la médecine allopathique qui donne l’illusion de la santé en masquant les symptômes alors que l’état de santé des malades baisse inéluctablement en laissant des séquelles et adynamies.
Peut-on être à la fois homéopathe et allopathe ? Au fond, c’est la question à laquelle ce cours essaie de répondre…
S.H revient cependant sur les différentes situations d’urgences médicales qui font exception à la prescription homéopathique.
Introduction au cours suivant d’Action Réaction.
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Lien vers le forum traitant de ces cours : m3t22-les-methodes-therapeutiques-04-01-13-t622.html ET m3t23-les-methodes-therapeutiques-10-01-13-t672.html
PACKAGE 4 : PRINCIPE D'ACTION RECATION - CRITERES MORBIDES - LES MIASMES - LA PSORE
M4T25 : PRINCIPE D’ACTION REACTION 16/01/2013
Paragraphe 63 à 69 de l’Organon
Le principe d’action-réaction nous aide à mieux comprendre l’effet réactionnel du médicament sur la force vitale. A travers des exemples concrets et les lois de la Physique, le cours nous aide à comprendre que l’intensité de l’effet réactionnel est proportionnelle à l’action exercée sur l’énergie vitale. Si nous saisissons ce principe fondamental nous pourrons mieux prescrire, c'est-à-dire évaluer avec précision la quantité (dose) et la dynamisation.
Partant de ce principe, le cours répond notamment à ces questions :
Quelle est la quantité minimale à administrer pour qu’une réaction ait lieu ou pour débloquer un cas ?
L’organisme est-il capable de faire une réaction vive avec une dose très faible ?
Comme le prétendait Kent, est-il exact que c’est la dynamisation qui a de l’importance et non la dose ?
Peut-on vraiment dégrader l’état de santé d’un malade avec une dose et/ou une dynamisation non adaptées ? Si oui, que faire en cas de surdose ? Quel remède prescrire ?
A travers la physique quantique et notamment les études de Maupertuis, Einstein et Planck, le principe de moindre action est abordé. Elles nous montrent que :
1) Pour provoquer une réaction satisfaisante, la quantité nécessaire doit être la plus petite qu’il soit
2) Il n’y a pas de sensibilité linéaire aux dynamisations (la force vitale réagit à des seuils d’énergie et non pas de manière linéaire)
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M4T26 : PRINCIPE DE MOINDRE ACTION 17/01/2013
Paragraphe 69 et 70 de l’Organon
Petit résumé du cours précédent.
Ce cours est un résumé détaillé des principes généraux de la médecine. En voici les grandes lignes :
1) La totalité des symptômes représente tout ce que l’on peut reconnaitre chez le malade et tout ce qui doit être guéri. Les symptômes étant ceux exprimés par le malade, ceux révélés par l’anamnèse et ceux décelés par le médecin par l’examen médical. Ces symptômes fournissent la clé thérapeutique.
2) Le dérèglement de la force vitale ne peut être converti en santé que par un autre dérèglement de l’énergie vitale au moyen de médicaments.
3) Les faits et les expériences nous montrent qu’il est impossible de guérir une maladie naturelle à l’aide de médicaments qui ont la capacité de produire des symptômes dissimilaires. Ils ne peuvent, au mieux, que procurer une amélioration temporaire tout en abaissant l’état de santé de l’individu.
4) Seuls les médicaments capables de produire des symptômes similaires à la maladie naturelle sont capables de guérir
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M4T27 : CRITERES MORBIDES 23/01/2013
Paragraphe 72 à 77 de l’Organon
Les principes généraux de la médecine étant terminés, nous débutons avec ce cours l’approche médicale avec notamment la façon d’examiner le patient.
Le diagnostic et le traitement sont les actes essentiels de la médecine, le traitement étant subordonné au diagnostic.
Nous apprenons quelles sont les qualités requises du médecin pour effectuer un diagnostic. Certaines sont peut-être innées chez nous mais d’autres devront être travaillées !
Mais que doit diagnostiquer le médecin ?
Ce cours répond à cette question et nous montre que des connaissances sur la thérapeutique sont d’un grand secours. En effet, discerner l’étiologie d’une maladie et savoir localiser la pathologie ne suffisent pas. Le médecin doit notamment connaitre ce qui distingue une maladie d’une autre et identifier la maladie.
L’homéopathe doit également connaitre la différence fondamentale entre une maladie aiguë et une maladie chronique. C’est à partir de cette connaissance que peut se faire la prescription du médicament. La deuxième partie du cours se propose de répondre à ces questions :
Les maladies chroniques peuvent-elles guérir d’elles-mêmes ?
Comment reconnaitre facilement si l’on est en présence d’une maladie aiguë ou d’une maladie chronique ?
Comment les maladies aiguës se développent-elles ?
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M4T28 : LES MIASMES 24/01/2013
Paragraphe 78 à 81 de l’Organon
« Le miasme est une aide, un outil de recherche du type de médicament que vous allez administrer »
E.Broussalian
Quel est l’intérêt du diagnostic pour l’homéopathe ? Sert-il vraiment à choisir le médicament ?
Faut-il partir de la thérapeutique pour traiter un cas (chercher le remède de la maladie) ? Il nous est montré ici que dans les maladies aiguës, il convient de trouver le remède qui convient au cas parmi les grands remèdes de la maladie.
Il existe des substances capables de désaccorder et de bouleverser l’énergie vitale. Les médicaments et l’intoxication des produits chimiques issus de l’industrie agroalimentaire en sont quelques unes. Il en résulte des pathologies chroniques appelées miasmes qui n’ont aucune tendance à la guérison quelques soient les efforts que nous faisons pour rendre excellente notre hygiène de vie.
L’homéopathe doit connaitre les miasmes non pas pour en faire une classification fumeuse pseudo-scientifique mais pour l’aider à diagnostiquer la maladie.
L’homéopathie peut-elle tout guérir ? Hahnemann semblait dire que certains cas étaient incurables. A quoi reconnait-on qu’un cas est incurable ?
Combien de temps faut-il pour rattraper X années de maladie avec l’homéopathie ?
Le cours répond à toutes ces questions.
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M4T30 : LA PSORE Première partie 30/01/2013
« Il y a quelque chose chez le patient qui ne le laisse pas progresser vers la guérison » S.Hannemann
C’est à partir de ce constat que Hannemann a pu étudier et identifier ces barrages, les miasmes, qui empêchent la guérison du malade même après l’administration d’un médicament dont l’homéopathicité est forte. La psore est le premier barrage qui est étudié ici.
Ce cours est une introduction à la psore. Avant de rentrer dans le vif du sujet, l’étudiant apprendra à différencier une maladie aiguë d’une maladie chronique en identifiant les différents stades de la maladie pour chacune d’elles. Le cours permettra de répondre notamment à ces questions fondamentales : comment démarre la maladie chronique ? Quel est la relation entre niveau de santé et miasme ? L’homéopathe peut-il prescrire un médicament sans connaitre les miasmes ?
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M4T31 : LA PSORE Deuxième partie 31/01/2013
Pour discerner rapidement le miasme caractéristique du patient, le thérapeute doit se mettre dans une disposition d’esprit particulière. Ce cours nous révèle les conditions essentielles pour atteindre cet objectif et répond à ces interrogations :
Quelle est l’attitude à tenir devant des cas compliqués et en quoi la connaissance des miasmes nous aide-t-elle à les solutionner plus rapidement ?
Quelle est la démarche logique à mettre en œuvre par l’homéopathe pour rechercher le miasme ?
Introduction à la répartition d’énergie en fonction de l’état de santé (1ère partie).
Le cours fait également référence à ce que certains grands homéopathes nous enseignent sur les miasmes.
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M4T32 : LA PSORE Troisième partie 06/02/2013
Les interventions du Dr Broussalian Père rendent ce cours très vivant. Ses anecdotes, son expérience et sa conviction vont certainement renforcer votre volonté d’en apprendre toujours plus sur l’homéopathie.
Suite et fin concernant de la répartition d’énergie (2ème partie)
Retour à travers des exemples sur l’administration de remèdes aigus dans l’exacerbation aigüe de la maladie chronique et des remèdes chroniques dans la psore.
Une fois la psore définie, l’étudiant va apprendre à la reconnaitre parmi tous les autres miasmes.
Manque d’énergie et de force, idées farfelus ou philosophiques, hypersensibilité, etc … : autant de mots clefs pour reconnaitre la psore et son remède qui lui est associé SULFUR. Si l’on voulait transposer la psore à un personnage : on penserait volontiers à un personnage de BD : GASTON LAGAFFE !
On rentre enfin dans le vif du sujet avec une présentation symptomatique précise de la PSORE sur le plan émotionnel.
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M4T33 : LA PSORE Quatrième partie 07/02/12
Ce cours est essentiel dans la bonne compréhension de la psore. Il revient sur les symptômes émotionnels de la psore et présente les symptômes physiques caractéristiques.
Après l’interrogatoire du patient, l’homéopathe devra mettre en place une stratégie rationnelle
- Soit le tableau symptomatique est clair et la prescription du remède est indiquée
- Soit le cas est confus et le diagnostic du miasme est impératif pour faire avancer le cas
Le cours nous apprend à diagnostiquer le miasme psorique et décrit en détail le roi des antipsoriques : SULFUR qui possède au plus haut point l’expression émotionnelle, mentale et physique du miasme.
Une comparaison est faite entre Sulfur et les médicaments végétaux satellites de la psore qui précèdent volontiers Sulfur dans la prescription.
Le cours répond également à ces questions :
Existe-t-il des médicaments qui sont plurimiasmatiques ?
Comment reconnaitre un enfant psorique lors de la consultation ?
Dans les cas confus, si l’on soupçonne un cas psorique, faut-il donner systématiquement Sulfur ou est-il judicieux de considérer d’autres remèdes ?