- 22 mars 2020, 13:10
#61963
On attribue cette dégénérescence intellectuelle aux perturbateurs endocriniens sans vraiment savoir ce que recouvre ce mot.
Quand on étudie sérieusement leur structure, on se rend compte que ce sont pour la très grande majorité (98%) des phénols.
Phénols (ou assimilés) que l'on retrouve non seulement dans ces composés, mais aussi dans la plupart des médicaments chimiques.
Les phénols sont des composés aromatiques qui captent de manière rapide et irréversible un grand nombre de composés oxydants.
Les oxydants sont indispensables au bon fonctionnement cellulaire (au même titre que les réducteurs d'ailleurs).
Par exemple, les peroxynitrites détruisent les protéines étrangères, ou dénaturées, permettent la formation de ponts disulfure, sont à l'origine de la synthèse biologique des prostaglandines, et... nitrent les phénols irréversiblement.
Ainsi, ces phénols vont empêcher la formation des prostaglandines lorsqu'ils sont introduits dans l'organisme, et donc diminuer les sensations de douleur, la fièvre,..., mais ils vont également empêcher les producteurs de peroxynitrite (macrophages) de faire le ménage cellulaire. Ils diminuent donc l'immunité, d'autant que la formation des ponts disulfure des anticorps sera également empêchée.
Parmi ces phénols, on trouve : le paracétamol, le naproxène, l'amoxicilline, la morphine... Et les analogues des phénols sont légion, en particulier les alcoxyphénols : tramadol, propanolol, fluoxétine, paroxétine,.. ou des alkyls benzène avec un groupe alkyl très ramifié : ibuprofène.
Ce qui est bizarre avec ce Covid, c'est que tous ces composés chimiques aggravent. On m'a parlé d'une personne fébrile à laquelle on avait donné un antibiotique et qui s'était fortement aggravée au point d'aller en réa. J'ai supposé que cet antibio était de l'amox, et j'avais tapé dans le mille. Ce "Covid" diminue donc lui aussi l'immunité, et ses effets s'ajoutent à ceux des médocs classiques dont le caractère néfaste devient patent.
Encore à rêver aux peroxynitrites
